Coucou tout le monde ! Un nouveau chapitre comme il se doit ! Hihi ! Cette fois-ci je l'ai un peu mélanger avec les cotes du théatre mais ça reste toujours dans le même style ! >w<
Que va t-il se passer maintenant ? A vous de le découvrir !>W<
Je restais médusée. Comment je devais réagir ? Quel visage devrais-je montrer dans cette situation ? Je ne sais pas. Je ne comprend pas. Que quelqu'un m'explique. Pourquoi je me sens énervée ? Pourquoi cette phrase m'a comme foudroyé sur place. Je continue à fixer le vide avec l'espoir de trouver rapidement une réponse ou un réaction appropriée à la situation.
-"Tu ne sais pas comment réagir ?" S'exclama t-elle. Je redressais mon visage choqué ou perdu et j'aperçue de la sympathie ; -"Que faisons-nous maintenant ?". Nayara se redressait me laissant seule, sur mes genoux, au sol.
Je détournais le regard et plaçais une main dans ma nuque. Que faisons-nous maintenant ? Très bonne question. Je l'apprécie beaucoup. Même énormément. Quand j'étais arrivée avec mon frère dans ce lycée, elle a été la première à venir me voir. Comme avec Cello d'ailleurs. Je ne m'en souviens pas exactement mais je crois que Cello était arriver en même temps que moi dans ce lycée. Oui... Ça me revient ! Je venais de sortir de l'hôpital. Hélas, j'étais encore dans un état léthargie. Mon monde extérieure se résumait qu'à mon frère. Pour moi, elle appartenait à cette marée noir d'inconnue. Elle m'était indifférente, je ne la connaissais pas. Naya à beaucoup donnée de sa personne pour qu'on s'intègre avec mon frère mais aussi pour Cello. Je pense même qu'elle a été bien plus présente pour elle, que moi je l'ai été. Mais je ne veux pas l'obliger à faire quoi se soit. Je veux que Cello choisit sa vie. Comme je ne veux pas abandonner.
-"Je ne sais pas. Je ne veux perdre aucune de vous deux. Je réalise maintenant que tu as été surement bien plus présente pour elle, que moi. Tu l'as mérite bien plus que moi. Mais..."
-"Tu ne veux abandonner ?" Naya baissait ses prunelles bleutées et sourit doucement.
J'approuvais en hochant la tête.
-"Alors" Me proposait-elle : -"Agissons normalement. Je ne vais pas forcer Cello à m'aimer. Comme toi, tu ne la forceras pas. Laissons là, choisir sa vie."
Je souris puis je me redressais doucement.
-"Je pensais la même chose, Naya. Tu devrais y allez. Les autres sont surement entrains de t'attendre. Vas-y."
Mon amie approuvait du regard puis partir sans rien rajouter. Bizarrement. Je ne me sentis bien. Je trouvais aussi que la situation assez ironique aussi. C'était la première fois que je parlais d'amour et c'était surement avec ma "rival". Il faut croire que on arrive à discuter de chose sérieuse qu'avec des gens qu'ils ressentaient la même chose. Je vais finir en retard si je continue à rêvasser.
Je m'installais à l'étage. J'étais assez bien installée. Je voyais toute la scène mais j'étais la seule dans le théâtre. Et oui, ils avaient réussis à louer une pièce de théâtre, mais je pense que c'est grâce à notre académie. La discutions me revient en mémoire. Celle avec Mona et Cello. Mon frère voulait me dire quelque chose ? Pourquoi voulait-il me le dire aujourd'hui ? Je me sentis un peu nostalgique mais ce n'était pas quelque chose douloureux comme tout à l'heure, non, cette nostalgique m'aidait à allez de l'avant. Je ne dois pas gâcher ma vie. Je dois vivre pour lui et pour moi. Je lui ais promis.
Les rideaux se lève laissant place à une lumière bleutée. La prêtresse se tenait debout, dos au publique tout en tenant entre ses mains un objet. La musique commençait doucement. La prêtresse était Cello. Avec sa longue chevelure blanche et sa peau rosée, il était difficile de ne pas la reconnaître. Doucement, elle se retournait vers le publique et d'autre personne fit son apparition sur la scène. Il y a avait visiblement, Mona, Nayara, Sasori et Funi. Tous ne se regardaient pas et fuyait le regard des autres.
Cello, tenant fermement son pendentif ; -"Héro, où es-tu ? Je suis seule dans ce paradis dont je suis la prisonnière. Suis-je condamnée à chanter mon chagrin ? Dois-je rejoindre cette histoire oubliée ? Ce passée dont je ne connais rien ?"
Un silence s'en suit. Comme si quelqu'un devait répondre mais personne ne répondit.
Nayara, donne un coup d'épée dans l'air : -Comment ose-tu défier notre roi ?! Pourquoi désir-tu détruire ce monde ? Les gens qui te son chère ne compte pas ?
Un silence inaudible lui répondit.
Mona, court partout : -"Pourquoi vous emmenez le prince ?! Il n'a rien fait de mal ?!"
Sasorie, essayant de se débattre : -"Guerrier ! Cet homme à raison ! Nous ne pourrons pas repousser l'inévitable en sacrifiant des vie ! "
Un rugissement me fit sursauter. On aurait dit celle d'une vilaine bête ou quelque chose de pas très commode.
Funi, se rapprochant de Cello et caressant sa chevelure : -"Chante, je t'en prie. Apaise la douleur de ce monde. Apaise ce dragon."
Cello, avec un visage triste : -"Bien... " Son chant s'éleva mais elle semblait si triste, si ... Vide.
D'un seul coup tout le monde était à terre sauf Cello. Celle-ci ce retourna et posa son regard droit dans mes yeux. Son regard... C'était une demande silencieuse. Je le sentais au plus prochain de mon coeur. Ses yeux plantés dans les miens. Sa main lentement se levait et le tendit vers moi. Qu'est-ce que je devais faire ? J'étais tétanisée. Cette scène ressemblait beaucoup à un souvenir entre mon frère et moi. Même la pièce en réalité. La chanteuse qui doit sauver le monde avec son chant mais qui est ... Condamnée. Son frère jumeau fera tout pour la sauver...
- NE PERD PAS ESPOIR RELÈVE TOI !
Cette voix venait d'en dessous de moi, je me levais et m'appuyais surprise sur le comptoir du balcon. J'aperçus plusieurs têtes familières. Aliona, JMDO, Martin, Kamia, Crazy et Calypso. Mon cœur se serra dans ma poitrine. Je suis vraiment qu'une idiote. Moi qui pensait m'en sortir seule. J'ai agis comme une idiote ! Comme une égoïste oui ! Ce qui sont entrain de faire... Ils essayent de me faire sortir de ma bulle dans laquelle je me suis enfermée. Ils se sont inquiétés pour moi et j'ai ignoré leur sentiment. Mais qu'elle égoïste je fais ! Cette pièce est un message de mon frère, et je l'ai compris. Il veut que je m'ouvre au monde, que je ne dépende plu de lui. Il veut que j'ouvre mon coeur. Il veut que je vis... MA VIE.
Je grimpais sur le rebord de la rempare faisant paniquer tout le monde. Je regardais droit devant, je regardais Cello avec un regard déterminé. Je respirais à fond puis hurla plein poumons :
-"Attend moi, j'arrive !"
Je bondis, surprenant tout le monde. C'était une agréable sensation. Je me sentais libre, comme si toutes mes attaches qui pesaient si lourd quand j'étais au sol ne m'avaient pas suivi. Je ne quittais pas mon regard de ceux de la fille que j'aime. Je voulais que ça soit elle qui me rattrape. Je voulais que ça soit elle qui m'aide à rester debout. Je veux que ça soit toi ! Cette fois-ci, j'étais l'ange qui avait besoin d'une paire de bras pour ne pas embrasser durement le sol. J'étais l'ange déchu des cieux pour avoir commit un crime. Le crime de t'aimer et d'avoir donné sa confiance aveuglément à cette personne.
Sasori se releva rapidement et accourra surement dans l'espoir de me rattraper mais Cello à été bien plus rapide que lui. Elle tendit ses bras pour me réceptionner. Ses bras capturaient mon corps encore en suspens en même temps que les miens. Cette instant me paru durer une éternité mais en même temps, ce sentiment ... C'était comme si je ne l'avais pas ressentit depuis des siècles. Avec la force de la chute, je tombais sur elle. Je me redressais rapidement, j'étais à quelque centimètre de son visage encore sous le choque. Je la regardais, soulagée qu'elle m'ait attrapé. Je plantais droit dans ses iris nuageuse mon regard avec mon plus beau des sourires avant d'éclater de rire en voyant son regard foudroyant. Je sentais qu'elle allait me traiter de touts les noms imaginables et possibles mais j'étais si heureuse. Ce poids que je portais venais de disparaître. Je roulais sur le coté toujours en me marrant comme une dératée avant que Cello joigne ses rires radieux aux miens. Je ne serais dire ce qu'il c'est passé à ce moment précis mais... C'est comme si j'avais sentit la main de mon frère me pousser du balcon pour m'encourager à prendre mon envole et à voler par mes propres ailes.
Désormais. Grâce à tout le monde. Grâce à mon frère. Grâce à Cello. J'ai réussi à me relever et je suis prête à affronter ce monde tout t'en m'ouvrant à ses occupants.
Suite à ce saut presque suicidaire, on avait passer toute l'après-midi ensemble, à rire, jouer, danser et crier comme un bon groupe d'amis. Même si les autres étaient très présents, Cello ne m'a pas lâchée d'une semelle pour mon plus grand bonheur. J'avais oublié cette chaleur d'être entouré, de sourire sincèrement, faire entendre ma véritable voix. Je l'avais oublié.
Les dites de Nayara n'avait pas pour autant fuit mon esprit. Qu'est-ce ce que devait faire? Attendre que Cello prenne la décision ? Mais si on était un temps soit peu rationnel, la probabilitée d'avoir deux personnes qui son amoureux en même temps semble assez faible...À cette penser je soupirais, fatiguée de me prendre la tête. Mon souffle eu l'effet d'un bruit de gong pour Cello. On était sur le chemin du retour pour rentrer dans cette fichu maison. Elle s'arrêta et me jeta un de ses fameux regards qui voulait tout dire :
-"Cello, ne t'inquiète pas. Je suis juste soulagée et heureuse ."
-"Heureuse ?" Interroga-t-elle, visiblement surprise.
-"Oui. Je me sens plus heureuse maintenant! Tous ça grave à vous !" Disais-je en souriant. C'est vrai, je Mr sens tellement plus légère et libre maintenant. J'ai compris que je ne devais pas porter seule cette douleur. Je devais m'ouvrir au autre pour pouvoir exprimer mes sentiments.
Elle baissait sa tête comme pour dissimuler son visage derrière ses cheveux blancs. Interloquée, je m'abaissais à son niveau pour essayer de comprendre. Puis j'apperçu son visage légèrement rouge avec un sourit des plus adorable. Elle est si ...:
-"...Mignonne."
Merde je l'ai dit à voix haute. Elle se redressait aussi rouge avant de me regarder complètement surprise :
-"Epo'... Qu'est-ce que tu viens de dire ?"
Elle le fait exprès en plus ! Elle veut me faire répéter ! Je souris amusé.
-"J'ai dit. " Je m'approche de son oreille : -"Tu es si mignonne".
Et là, c'était la tête la plus adorable que je n'ai jamais vue. Cello ne savait plus comment réagir et déjà qu'elle était rouge, mais là. Elle allait exploser tellement sa rougeur était vive. Je ris devant cette réaction et ses insultes. Naya' tu viens de louper un sacré spectacle. Ah ah.
Voyant qu'elle commençait à être agressive, je commençais à accélérer le pas avec cette adorable sirène derrière moi.
Je profiterai de chaque moment jusqu'au jour où... Je retrouverais cette force de chanter, seule. Je veux te communiquer mes sentiments avec ce qui fait de toi... La femme que j'aime.
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Mer 30 Aoû - 18:58