| | | Et si la CHM s'était passée autrement ? |
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| Dim 7 Sep - 8:48 M.S. Chapitre 5, jour 8, partie 2 : Va ! je ne te hais point...Fukano se mit à courir. Non ! Mais non ! Il était juste venu dans le Nether pour chercher un donjon encore inexploré pour se procurer le matériel nécessaire à la fabrication des potions et il fallait qu'il tombe sur eux. Ce n'était pas possible ! Il n'allait pas survivre longtemps si la malchance continuait de s’acharner sur lui ainsi.
« He Fukano, où fuis tu ainsi ? Viens faire joue-joue, quoi ! T'es pas drôle ! Et puis, si tu veux mon petit tigron, on va jouer au chat et à la souris, seulement c'est toi qui est chassé. C'est le comble pour un félin, pas vrai ? Mais où va tu donc comme cela ? T'es au courant que tu as besoin d'un portail pour sortir du Nether et que celui que tu as emprunté à l'aller se trouve dans l'autre direction ? T'espère quand même pas tomber sur un portail comme cela, à l'improviste ? Tu sais bien que chacun cache le sien très précieusement et donc que tu ne pourras pas le trouver aussi facilement ? ... ... »
« Parle, parle, vas y, essouffle toi, pendant que moi je cours » pensait Fukano, imperturbable. Il savait très bien que continuer ainsi tout droit ne le mènerait nulle-pars, mais avant de penser à sortir du Nether, il fallait qu'il seme les deux abrutis qui lui collaient aux pattes. Un tigre court beaucoup plus vite qu'un homme. Sa nature l'avantageait et il pensait bien réussir à les distenser quand un gast surgit devant lui. L'explosion d'une boule projeta Fukano sur le coté. Elle ne lui causa aucune blessure mais elle fit exploser le socle sur lequel reposait un pont de gravier qui était le seul moyen de franchir un long fleuve de lave qui s'étendait loin en dessus.
Fukano se retourna. Derrière lui Ectalite, suivi un peu plus loin par Bboy arrivait au pas de course. Devant lui au fond du gouffre tourbillonnait les volutes de lave. Il était pris au piège. C'était la mort. Ectalite avait une potion de force ; ses yeux de félin pouvait voir les particules qui troublent l'air, trahissant les effet d'une potion. Fukano recula d'un pas. Il sentit sous son talon des gravillons rouler. Fukano les vit ricocher contre la paroie du gouffre et se faire avaler par la lave qui bruissait étrangement.
Ectalite se rendit compte que Fukano était pris au piège, il ralentit l'allure afin de reprendre son souffle pour la combat. C'était une joie incommensurable de voir l'homme-tigre ainsi acculé contre le vide. Il connaissait enfin cette satisfaction que ressent un prédateur en tenant sa proie encore en vie entre ses griffes et comble du bonheur, sa proie à lui était un prédateur : un tigre ! Un Patrick !
« Au fait tu peux m'explique se qui passe avec tes amis les Patrick. Comment ça ce fait que vous ne soyez pas tous en train de pleurer dans les jupes d'Aypierre pour obtenir sa protection ? Pourquoi t'es tout seul ici ? Tu t'es enfuit comme un voleur ou bien ils t'ont mis à la porte parce qu'ils ne supportaient plus ton odeur de chien, ho pardon, je voulez dire de chat ? »
Dans son cœur, la rage brûlait, mais il ne pouvait pas se jeter sur l'homme. Deux contre un, c'était impossible. Fukano regarda la pomme scintillante qu'il tenait dans sa main. C'était la seule chose qu'il avait sur lui durant la nuit fatale où il avait dû partir sans prendre son stuff, resté au campement. Il aurait voulu l'économiser, mais il n'avait pas le choix. Il planta ses crocs dans la chair sucrée de la pomme. Ectalite, comprenant, se jeta sur lui, l’interrompant. Alors Fukano, voyant le début du combat inexorable, plongea du haut de la falaise dans la lave. Dans sa chute il mangea la pomme et pris la dernière bouchée au moment même où ses premiers poils rencontraient la surface de la roche en fusion. Il se mit a nager, arrivé à la rive, il leva les yeux et vit que Bboy était en train de construire un pont pour traverser. Ectalite, le lache, laissait à Bboy toutes les taches dangereuses, et pendant que Bboy s'exposait à une flèche qui pouvait être mortelle, Ectalite les yeux flambant de rage l'observait.
Il le tenait pourtant ! Il le tenait ! Comment lui avait il filé entre les doigts ? Ectalite passa sa main contre sa joue comme s'il sentait physiquement la giffle de l'humiliation.
Fukano regarda cet homme qu'il venait de rouler dans la poussière. Comme il avait l'air piteux et faible en haut de son promontoire. Il était ridicule sur ses deux jambes. L'Homme n'était rien comparé au tigre. L'homme ne sais pas combattre, il a besoin de batons d'acier pour cela alors que le tigre est armé par la nature. L'homme ne sais pas courir sur ses deux grandes jambes alors que les quatre robustes pattes du tigre le propulse aussi vite que la vent. L'Homme ne sais pas chasser, ses pauvres yeux ne voient pas la nuit et pour ce qu'il peut voir le jour, on peut dire que cette espece est aveugle, ses oreilles toutes aplaties ne persoivent les sons que dans un cacofonie indescriptible alors que celles du tigre persent les frémissements du plus épais des silences. L'homme est bruyant, l'homme est faible, l'homme est bas. Comment lui, Fukano, avait il put se raprocher d'une espèce aussi vile ! Non, il était temps de retourner à sa vraie nature...
Devant lui, le portail tremblait tel un grand dras violet que l'on aurait mit dans le vent. Sur cette toile trépidente si dessinaient des cercles qui se dévoraient entre eux au fur et à mesure. D'un bond gigantesque, Fukano sauta à travers le portail et rejoignit l'OverWold en déboulant dans des galeries faiblement éclairées par des torches possées hâtivement. Il ne connaissait pas cette grotte mais celle ci favorisait sa nature et l'avantage de ses sens plus développés lui permétait de devenir le prédateur et non plus la proie.
***
Brioche sentit la panique monter en lui. Où étaient les autres ? Il les avait perdus. Non, non, non pas maintenant, pas maintenant. Il ne savait pas du tout où il était. Il ne savait pas comment rentrer. Il sortit son épée de diamant enchantée, la serrant aussi fort que possible, au point que ses jointures blanchirent. Il s'y accrochait comme un noyé à une bouée de secours. Le magnifique cadeau de Siphano tremblait entre ses mains. Il essayait de se souvenir des conseils de l’aîné. « Si on est séparé ou si je ne reviens pas, vous ne me cherchez surtout pas, vous ne m'attendez pas, vous restez ensembles et vous rentrez immédiatement en passant par la mer, vous irez plus vite et vous serez moins repérables. Pas par le Nether, c'est un environnement bien trop hostile et bien trop petit, vous pourriez y croiser d'autres joueurs. Et n'oubliez surtout pas de prendre une potion d’invisibilité. » Non, non, non ce n'était pas ça. Présentement, c'était lui qui n'était pas avec eux. Qu'est ce que Siphano avait dit dans ce cas là ? Qu'est ce qu'il avait dit, bon sang ! « Brioche, tu restes avec Xef, tu ne le lâche pas d'un centimètre. » oui, d'accord, ça aurait été bien si cela s'était passé comme prévu mais le fait est que Xef se trouvait à bien plus qu'un centimètre de lui. Il allait prendre du bois dans la foret. Se faire un bateau, puis il ne lui resterait plus qu'à trouver la mer, et après la mer, la base.
Sa peur redoubla sous le couvert des arbres. Il entendait les grincements des mobs de la nuit dernière qui avait survécu au rayon de soleil. Il commença à découper son arbre, mais comme la dernière bûche était hors d'atteinte, il renonça à la récupérer et partit en laissant derrière lui un demi arbre flottant. « règle de survie n°1 : ne jamais laisser de trace de son passage »
Brioche tenta de se faire une table de craft, mais oubliant qu'il fallait transformer avant tout les bûches en planche, il s'étonna que cela ne marcha pas. Craignant d'avoir prit un mauvais bois, il détruisit un autre arbre, en laissant le sommet volé. Ne remarquant aucune différence, il conclut qu'il ne devait tout simplement pas avoir assez de bois. Cinq arbres subirent le même sort que les précédents. Le problème primaire ne changea pas, mais un autre se posait : tout en jouant au bûcheron, il s'était enfoncé dans le bois et était encore plus isolé qu'avant. Mais après tout, il n'était pas un descendant de Petit Biscuit pour rien, il connaissait parfaitement les contes et il se souvenait que le petit Poucet, lorsqu'il s'était perdu dans la foret, avait semé derrière lui des cailloux blancs pour pouvoir retrouver son chemin. Heureusement Brioche avait sur lui un demi stac de cobbel. Il continua son aventure en mettant consciencieusement un bloc de pierre tous les quatre mètres avec dessus une torche. C'était une idée du siècle qui lui était venu. Ainsi le chemin qu'il avait pris était visible de loin et même la nuit.
Tout à coup il entendit un grognement dans son dos. Un zombi avançait vers lui de son pas traînant. Brioche le regarda s'approcher, tétanisé par peur. Il ne pouvait courir, ses jambes ne lui obéissaient plus. Les bras le long de son corps, l'épée inutilement pointée vers le bas, il ferma les yeux et se mit à prier Siphano pour qu'il arrive dans la seconde. Siphano allait arriver, Siphano devait arriver, cela ne pouvait être autrement. La douleur fut forte. Le Zombi lui mordait le bras. Il rouvrit les yeux et dans un soubresaut d'horreur, il se dégagea et poussa violemment la créature sur le coté, dans une flaque du soleil qui avait percé entre les arbres. Interloqué, il regarda la créature flamber. Il comprit
« j'ai tué mon premier zombi ! Je l'ai fait tout seul, comme un grand ! Ah qu'est ce qu'allait être content Siphano quand il verrait que j'ai si bien retenu ses leçons ! Franchement, j'ai trop le swag !!! »
Tout ravi, il se remit en route.
Le soleil commençait à décliner. La nuit arrivait. Bientôt les mobs sponeraient et à ce moment ce ne serait pas un mais des hordes de zombis qu'il aurait à affronter et le soleil ne serait plus là pour l'aider. En plus, il y aurait des squelettes, les terribles archers. Siphano disait : « ce n'est pas grave, toi aussi, tu as un arc. » Oui certes il avait un arc, mais la dernière fois qu'il avait tenté de s'en servir la flèche était atterrit devant ses pieds. Siphano lui avait promit de lui apprendre, mais après une heure d’entraînement, il avait pris sa tête dans ses mains, avait dit que c'était déjà un début de pouvoir tirer à cinq mètres et qu'il allait se coucher. Brioche se mit à courir, la peur au ventre.
C'est alors qu'il déboucha dans une clairière. Comme dans les contes, il s'y trouvait une maison. « règle de survie n°2 : fuir le plus loin possible, dès que l'on croise quoi que ce soit construit par un autre joueur, que ce soit jute une table de craft ou une immense construction. » La maison était plus belle que tout ce qu'il avait vu jusqu'à présent, même plus belle que ce que faisait Siphano, et il n'avait jamais crut cela possible. Elle avait trois étages et un toit majestueux. Elle était en forme de L, avec un jardin devant. Celui ci devait avoir été propre et bien taillé autrefois, mais maintenant l'herbe avait envahit la plate bande de fleurs et le lierre avait recouvert les barrières de bois. Aux angles se trouvaient d’imposantes colonnes de bois. Les murs de pierre faisaient deux de large, chose étrange et merveilleuse qu'il n'avait jamais vue jusqu'alors, d’innombrables escaliers s’encastraient les uns dans les autres créant du volume et des détails dans les parois. Une tranquille harmonie ressortait du tout. Le toit munis de chiens-assis s'élevait haut vers le ciel. Il y avait de la lumière à l’intérieur. Le propriétaire de cette si belle demeure devait forcément être quelqu'un de gentil qui l'aiderait. Il frappa à la porte et entra. « règle de survie n°3 : éviter à tout prix le contact avec les autres joueurs. »
Le vestibule était chaleureux. Le plafond était haut et les grandes fenêtres laissaient passer les rayons rougeoyant du soleil couchant. Ceux ci s'étalaient dans la pièce donnant aux choses une teinte de rubis. Les faisceaux écarlates se brisaient sur le sol irréprochablement propre. Celui ci les renvoyait dans toutes les directions donnant aux murs une couleur incandescente. Les ombres se déployaient de tout leurs longs, dessinant précisément leurs contours noirs sur le fond vermeil. Le volume et les détails ressortaient particulièrement dans cette ambiance sanglante. Brioche n'avait encore jamais vu un pareil spectacle. L’ardeur de la pièce lui montait aux yeux, pénétrant jusqu'au fond de son cœur. Il n’oublierait jamais cette vision. Une antichambre incandescente. Au dehors, le soleil disparu derrière les arbres, dessinant encore çà et là des puits de lumières, quand celle-ci passait le filtre des branches. La galerie retombât dans la tranquille luminosité d'un intérieur chaleureux. Brioche cligna des yeux, passant d'un rêve à un autre. Il avança vers la porte devant lui. Le parquet ciré ne faisait aucun bruit sous ses pas. Il reflétait la pièce dans ses moindres détails.
Il ouvrit la porte découvrant un autre spectacle. Sortant de la magnifique galerie, une cuisine soignée apparut alors. Petite, gracieuse, d'une harmonie jolie plus que belle. Les murs étaient blanc nacreux, légèrement patinés mais sans tache. Elle aussi immaculée. Brioche se sentit gêné de fouler le sol froid, si pur. Il avait l'impression de faire un bruit d'enfer dans la tranquillité des lieux. Il enleva ses bottes et bu avidement le silence. Il n'avait jamais depuis le début du jeux été aussi apaisé. Plus de danger, plus de stress, plus de cris, plus de sang. Un silence complet.
Dans le coin de l'office se trouvait un jet d'eau, clapotant joyeusement. Il y passa la tête. L'eau était froide mais douce. Elle emportait avec elle les tentions de la journée, effaçant un à un ses soucis. Brioche se lava sous ce filet, ôtant toutes les saletés de son corps, retirant toutes les impuretés de sa pensée, ne comptant plus le temps, ne pensant plus à rien, profitant encore et toujours de l’instant présent. Il se sentit réellement vivant pour la première fois depuis longtemps. Apaisé, il entra dans la pièce suivante.
« Tic, Tac » faisait la pendule sur le marbre gris de la cheminée. « Tic, Tac » faisait la pendule, solitaire dans le sommeil calfeutré du salon. Personne pour faire craquer les longues lattes de parquet. Personne pour ouvrir les lourds rideaux de feutre coulant du plafond. Les pieds de Brioche s’enfonçaient dans l'épais tapis. Quelque lampes diffusaient une lumière douce, maintenant la pièce dans une atmosphère de recueillement. C'est alors que Brioche remarqua un fait anormal, auquel il n'avait pas fait attention jusqu'alors, mais qui commençait à devenir pesant. Il faisait nuit noir dehors, les mobs sponnaient en quantité, et le propriétaire de la demeure n'était toujours pas rentré. Son instinct lui murmurait de partir. D'oublier cet endroit, si merveilleux, trop merveilleux. Mais Brioche regardait dans le fond de la pièces l'escalier s'enrouler sur lui-même, et se demandait qu'est ce qu'il y avait en haut. N'y tenant plus, il se mit à gravir lentement une à une les marches et il allait ouvrir la porte quand une main lui attrapa violemment l'épaule.
***
Frigiel faisait tourner lentement le poulet au dessus des flammes. Il était seul dans la nuit noire. Son feu envoyait une clarté dansante tout autour de lui. C'est avec une certaine peine qu'il l'éteignit après son repas. Il se lançait dans un long voyage et il ne reviendrait sûrement pas. Il partait le plus loin possible de cette cité damnée. Il avait trouvé son but. Il savait à présent en quoi mettre ses derniers efforts. Il avait longtemps cherché. Il lui restait à la fois trop et pas assez de temps. Il n'avait pas sus vers où se tourner. Il avait vu le score d'Aypierre, de Zelvac, ou de Potaro et il avait renoncé aux émeraudes. Et puis cela lui était arrivé comme comme une évidence. Il allait partir, partir le plus loin possible. Peut être il sortirait de la zone d’influence de la cité. Peut être que le maître du jeu ne le trouverait pas à la fin du 14ème jour. Alors il aurait survécu. Était-ce un bien ? Il ne le savait pas. Mais sa vie avait encore un maigre sens. Il n'avait encore tué personne et il se conserverait aussi pur que cela était encore possible. Il n'était déjà plus celui qu'il avait été avant la cité. Il le sentait en lui, il le savait, il se connaissait suffisamment. Mais tant qu'il aurait encore une légère estime de lui même, il reconsidérait que la vie valait la peine d'être vécue et il tacherait de ne pas mettre fin à ses jours inutilement.
Frigiel se leva. Il avait tout ce dont il avait besoin et au pire, il trouverait en route. Les actions déterminent l'être. Frigiel savait que le contrôle que l'on a sur elles provient de la connaissance que l'on a sur sois-même, ainsi même sur le coup d'une émotion forte, se connaître permettrait d'éviter de commettre un acte qu'il regretterait par la suite. Alors Frigiel commença son examen de conscience. Son premier tort était d'avoir abandonné Zelvac et Léo. Il n'avait pas été obligé de suivre Siphano dans sa décision, il aurait dû rester pour Zelvac, pour Léo... Il avait violé le plus précieux des serments, celui que l'on contracte passivement, la confiance, l'amitié... Mais c'était trop tard. Léo était mort. Et pour Zelvac, comment pourrait il revenir, le regarder dans les yeux et lui dire « Je suis revenu. Veux tu encore de moi ? » et puis il ne trouverait jamais leur base.
Frigiel marchait entre les arbres. La nuit était douce, pas un souffle de vent ne troublait sa paix. La forêt, pleine de vie, lui murmurait ses mille secrets à l'oreille. Frigiel plongeait dans ses pensées, revoyait toutes ses actions depuis le début de la CHM. Il compaissait devant le tribunal de sa conscience. Après avoir abandonné Zelvac et Léo, il le reconnaissait, il avait commis un impaire au sein de son groupe. Il avait pris la direction de ce dernier sans laisser le choix aux autres. Il avait pris goût au pouvoir. Il s'était crû supérieur. La vanité et le plaisir de domination sur ses confrères sont les pièges qui font choir les hommes, Frigiel n'échappait pas à la règle. Il était un parmi tant d'autres à avoir succombé à la tentation, mais à présent qu'il le savait, il n'avait plus droit à un seul faux pas dans ce domaine.
Un grand oiseau de nuit passa comme une ombre. Son hululement grave, solennel résonna dans l'air et le figea en une note glacée. Frigiel leva les yeux. Les étoiles, innombrables en ce moment où l'été meurt, brillait plus lumineusement que jamais. C'était un sourire loin, inaxesible qui lui parvenait. Elles l’encourageait gentiment, le poussant du bout des doigts. Il songea à Ectalite. Il n'avait jamais réellement quitté ses pensées depuis cette nuit terrible où leur groupe s'était fendu. Oui, l'attitude d'Ectalite n'avait pas était juste à son égard. Mais Frigiel n'était pas innocent dans cette affaire. Il faut être deux pour se disputer, il n'y a jamais un méchant et un gentil. Il avait sa part de responsabilité : tout d'abord son attitude envers le groupe, ensuite cette façon de réagir aux remarques ; il avait toujours eut du mal à accepter d'avoir tort. Et puis il avait aussi intérieurement comploté contre Ectalite, il s'était rabaissé à agir comme ce dernier. Il ne valait pas mieux.
Un souffle froid passa soudain entre les arbres. Le premier vent de l'hiver lui parvenait du nord. De ses longs doigts glacés, il lui effleura le cou. Un frisson passa sur ses bras. Ses poils se dressèrent. Le forêt se tut un instant. Elle savait ce que cette brise amenait avec elle ; le rétrécissement des jours, la mort des feuilles, l'endormissement de la terre et des mois interminables á craindre le froid. Au ciel, un nuage couvrait les étoiles, et leur regard protecteurs ne parvenait plus jusqu'à Frigiel. Il inspira profondément. Il s'était promis par lâcheté ne ne plus repenser à ce qui s'était passé dans le Nether. Mais il lui fallait à présent, devant son tribunal interne, s'y replongeait et voir les faits comme ils avaient été, sans amplifier ou atténuer quoi que ce soit, sans se mettre devant les yeux un voile qui lui filtrerait la vérité. Il avait tenté de tuer. Lorsqu'il avait combattu, il visait les parties vitales, il n'essayait pas de désarmer où de mettre son adversaire hors d'état de nuire mais de le tuer. Il aurait très bien pu devenir un meurtrier. Il avait souhaité la mort et le pas entre désirer et faire pouvait être très facilement franchi. Il ne devait plus faire de faux pas. Ne jamais tuer ! Quelles que soient les circonstances, jamais !
Le nuage passa, dévoilant la lune qui venait de se lever. Frigiel n'y prêta aucune attention. Il était plongé dans ses pensées et revivre des faits si horribles, si récents étaient aussi douloureux que cela lui était indispensable. Banano était mort à cause d'Aypierre. Était il coupable de cette mort car il avait épargné Aypierre ? Non, pas de celle là, ce n'était pas parce qu’il avait laissé la vie à Aypierre qu'il devait assumer les actes de ce derniers. Il n'était responsable que de ses actes. Il acceptait que l'on le traite de lâche, de traître car il avait abandonné ses amis ; d’assoiffé de pouvoir ou que ce que l'on voudra mais il n'était en rien responsable de la mort de Banano. Mais à partir de maintenant, il serait irréprochable. Il comparerait devant le tribunal de sa conscience pour chacune de ses actions et s'il s’estimait trop dangereux, il n'hésiterait pas à se condamner lui même à la peine de mort.
Son but était à présent de s'éloigner le plus possible du combat. Il partirait aussi loin que possible et peut être arriverait il à sortir de la zone de contrôle du Maître du jeu. Il serait alors libre.
La foret vivait autour de lui sans l'inquiété. Les cigales faisaient entendre leur grésillement qui traversait l'air chaud de la nuit comme le chant joyeux de violons de la nature. Les arbres étaient espacés les uns des autres, leurs ramures ne se touchaient pas. Les flaques de lumières étaient plus nombreuses que les zones d'ombres. Le terrain était relativement plat mais de façon très surprenante la foret était coupée par une falaise. On aurait pu croire qu'on avait tracé un trait et que le sol s'était surélevé sur l'un des cotés. Frigiel suivait cette muraille naturelle depuis plus d'une heure. Il n'était pas fatigué. Il voulait profiter au maximum de la nature, de la vie qui lui restait et qui pourrait s’arrêter demain.
La nuit s'était parée de son plus beau collier d'étoile. Il était magnifique. Les diamants brillaient de mille feux. Sa longue robe de satin mauve bleuté descendait jusqu'à l'horizon sans le moindre brouillard pour la tacher. La lune souriait doucement. Elle était ronde, parfaite comme le visage d'une femme qui aurait passé cette magnifique tenue du soir. Un groupe de nuages passa dans la ciel et l'entoura telle une chevelure ondulant sous le vent. Le grand oiseau nocturne passa à nouveau en poussant son triste hululement. Sa forme se découpa un instant en ombre chinoise contre l'astre et il disparu dans les ténèbres. Frigiel tenta de la suivre des yeux et c'est alors qu'il la vit. Les nuages qui avaient momentanément adouci la lumière de la lune disparurent et c'est dans une clarté irréelle que la silhouette surgit. Au sommet d'un piton rocheux, loin au dessus de Frigiel, elle dominait le monde renversé à ses pieds. Le vent se réveilla soudain. Ses boucles se déversèrent dans le vent volant comme un étendard. La longue cape noire se gonfla et se souleva derrière elle. La lune faisait scintiller la peau blanche comme si elle avait été recouverte de poussière d'étoile. La lumière laiteuse atteignait la jeune femme sur son profil, de sorte à ne dessiner qu'une seule longue ligne floue et scintillante sur son corps, laissant le reste de la silhouette dans les ténèbres. Frigiel ne voyait que le trait du front haut et de la mâchoire, la courbe du bras tendu, l'arc de la taille mince cintré de cuir resplendissant et le contour ondulé d'une belle jambe solide. C'était une déesse, la fille de la nuit qui dans sa robe de clarté et de crépuscule se dressait devant lui. Inconsciemment, Frigiel cherchait à savoir qui se trouvait là. Il ne restait plus que deux femmes en vie. Croustinette n'avait pas ce corps svelte et élancé, elle était plus petite, légèrement trapue, maternelle. Alors c'était . . . Cependant les nuages passèrent et la lumière s’éteignit. Quand le clair de lune revient, l'étrange apparition avait disparue.
***
Siphano sentait la sueur. Brioche ne l'avait jamais vu aussi paniqué. Derrière lui, Xef, courbé vers l'avant, les mains sur les genoux, tentait de reprendre sa respiration. Leurs vêtements à tout les deux étaient déchirés. On voyait sur leurs visages de grandes marques de brûlures et Siphano avait autour de la tête un bandeau mais ils étaient tous les deux en relativement bonne santé. Brioche sourit, ravi de retrouver ses amis.
«Viens Brioche ! Vite ! Il faut sortir d'ici ! » Il était rare de voir Siphano dans un tel état de panique et ce n'était jamais de bon augure. Mais cette fois, Brioche ne comprenait pas.
« Il fait nuit dehors. On est en sécurité ici, on repartira demain. » C'était la première fois qu'il contredisait un ordre de Siphano.
« Non, on n'est pas en sécurité. Pas du tout. Aller viens ! »
Mais Brioche ne bougeait pas, toujours la main sur la poignée de la porte. « Bon sang, Bri ! Cette maison n'a pas été générée, elle a été construite ! Celui qui l'a fait peut arriver à tout moment.
- Il n'est pas là, j'ai visité la maison, elle est vide. » Dit sereinement Brioche. Mais au lieu de se calmer, Siphano pâlit.
« Il n'est pas là ? Bill Silverlight n'est pas là ? » avait bégayé Siphano. Le plus vieux avait tout de suite reconnu le style de Bill. Mais ce n'était pas Bill, le problème. C'était les Patrick ou pire encore Aypierre. Ceux-ci n'avaient pas pu abandonner le moins fort d'entre eux. Il repensa à Zelvac et un goût amer lui monta dans la bouche. Si, c'était possible qu'ils l'aient fait. Il l'avait bien fait lui. Dans ce cas, l’absence de Bill devenait plus qu'inquiétante encore. Bill n'était pas du genre à partir à la chasse, ou à faire une petite promenade nocturne. S'il n'était pas ici, c'est que quelqu'un y était venu le chercher, pour …. Mais si cette personne ou ces personnes y étaient venues, elles connaissaient le lieu et pouvaient y revenir. Surtout si elles voyaient le magnifique chemin de torche qu'avait laissé traîner Brioche après lui. Il fallait partir tout de suite.
Brioche le regardait dans les yeux fixement. Exaspéré par ce calme, Siphano le gifla. Mettant toute sa force dans le geste, toute la tension de la journée, toute la peur qu'il avait eue d'arriver trop tard et de ne retrouver qu'un corps sanguinolent.
Brioche resta sonné par le coup. Ses pupilles se rétractèrent. De quel droit Siphano pouvait-il le toucher, lui faire mal. Son regard se durcit. Ce n'était pas parce qu'il n'était pas très brillant qu'on avait le droit de le traiter ainsi. Il avait obéit jusqu'à présent sans discuter, mais rien ne le forçait de continuer. Il n'était pas l’esclave de Siphano.
Xef regarda Siphano la bouche ouverte. Rien ne justifiait qu'il frappe Brioche. Il avait changé. Le sang qu'il avait fait couler et le pouvoir qu'il avait eu lui étaient montés à la tête. Il devenait dangereux.
Siphano sentit sa colère s’effondrer subitement. Il était allé trop loin. Il regarda Brioche se tourner et ouvrir la porte derrière lui. Il réagit juste à temps pour empêcher la porte de se refermer. Il se précipita dans la pièce, Xef sur les talons.
C'était une grande chambre. Elle ressemblait à une chapelle gothique. La nef ou le corridor central était entouré de colonnes élancées si sveltes que l'on pouvait se demander comment elles pouvaient supporter quoi que ce soit. Ces colonnes se continuaient au plafond en longues arcades qui se croisaient sous la voûte, formant une dentelle blanche sur le bleu légèrement mauve du dôme. Sur les cotés, deux couloirs, moins hauts de plafond, étaient troués par de grandes baies vitrées, permettant de voire les sombres feuillages des arbres dans la nuit. Un infime dégradé suivait leur courbe jusqu'au plafond, La vitre parfaitement transparente au pied devenait vaporeuse au dessus du regard, perdant peu à peu sa limpidité pour une opacité grandissante. Au sommet, la brume prenait une teinte bleuâtre. Et des veinures, pareilles aux cisellements de la glace, marbraient la vitre sur ses contours dans des nuances opalines. Entre les fenêtres se trouvaient de petits espaces habilement aménagés pour une vie paisible et retirée du monde. Ça et là des bibliothèques, dont les livres aux couvertures de cuir mêlé d'or étaient parfaitement alignés, sur une des tables de bois foncé se trouvait un livre que le propriétaire avait oublié de ranger; un mince duvet poussiéreux s'était accumulé sur Les Fleurs du mal, de Baudelaire. Bill avait vraiment des idées incongrues parfois, songea Siphano. Pourquoi avait-il emporté ce livre ? A la place où aurait du se trouver l’hôtel se dressait un lit majestueux. Les délicats piliers d'arabesques entremêlées soutenaient un lourd baldaquin moiré. Le tissu irisé, en tombant autour de la couche créait de longs chatoiements qui coulaient dans ses plis noirs. Xef regardait la pièce, inquiet. Elle était envoûtante, trop envoûtante. Quelque chose clochait ici. Toute la maison était impeccablement propre, mais sur cette table au livre non rangé s'était accumulé un léger film de poussière. Ces rideaux noirs autour du lit lui faisaient penser à un linceul. Ils entouraient le royaume du somme comme s'ils pleuraient que celui ci soit devenu l'empire de la mort. Il n'y a qu'un pas entre le sommeil et l'éternel repos. La tranquillité de la demeure était pour lui le résultat d'une absence de vie. Tout donnait l’impression que le lieu avait été rangé pour un départ sans retour. Tout respirait le deuil ici, surtout cette pièce. Il se sentait comme dans un caveau : écrasé par l'ombre d'un disparu.
« Il faut partir d'ici » Sa voix avait résonné, solitaire dans le silence de la grande pièce. Si ses compagnons voulaient rester ici, libre à eux, seulement, lui ne resterait pas un instant de plus dans cette pièce. Il fit un pas vers la porte et se rendit compte qu'elle était en fer. Il sentit la peur le gagner. Tout cela était un piège. Contre tout espoir, il appuya quand même contre le bouton. Mais évidement la porte ne s'ouvrit pas et la machine infernale se mit en marche.
Le sol se mit trembler. Les murs bougèrent, se rétractant. Quelque chose le poussa violemment vers le centre de la pièce. Il s’écrasa de tout son long contre les dalles froides. Siphano se retourna, et n'eut le temps que de voir un piston surgir de nulle part, renverser Xef, lui faisant faire un magnifique vol plané. Quand il heurta le sol, sa tête cogna contre le coin d'un pilier, le laissant inconscient. Siphano se précipita vers son ami suivit de près par Brioche. Il prit la tête de Xef entre ses mains. Un sang chaud coulait entre ses doigts.
« Non, Xef, Non. Tu n'as le droit de me faire cela. Tu n'as pas le droit de m'abandonner, ainsi » Il prit le corps de Xef et le sera fort contre lui, mêlant ses cheveux à ceux de l'évanoui. Il sentait encore la respiration de Xef contre sa joue, mais le sang de ce dernier coulait rapidement le long de ses bras.
Brioche regardait, horrifié, la mare rouge qui se formait autour de Siphano. Il avait tué Xef. S'il avait écouté Siphano, ils seraient déjà loin de cette maudite maison. Comment avait t-il pu se croire suffisamment fort pour contester les ordres du plus vieux ? Il n'était rien et ne serait jamais rien. Pourquoi s'acharnait-on encore à le protéger, alors qu'il n’apportait rien et ne faisait que des gaffes, dont la plus grosse venait de causer la mort de quelqu'un de bien meilleur que lui ?
Siphano enleva son t-shirt et le déchira en longues bandes qu'il enroula autour de la tête de Xef. Il fallait stopper l’hémorragie. S'il n'y avait pas de complication, Xef s’en sortirait. Dés qu'il aurait de l'eau, il laverait la plaie. Pendant ce temps, il ne pouvait rien faire d'autre. Il avait fait son possible pour qu'il ne perde pas trop de sang et n'avait à présent plus qu’à espérer qu'il se réveille. Siphano leva les yeux vers Brioche qui tremblait comme une feuille en attendant le verdict du plus vieux. Les cheveux bruns du jeune homme étaient devenus noirs et s'étaient rassemblés en mèches qui lui tombaient devant le visage. Le sang avait déjà coagulé. Siphano passa le dos de sa main contre sa joue pour enlever les longues éclaboussures qui maculaient son visage. «C'est bon, il est en vie » dit doucement Siphano. Il voulait faire comprendre à Brioche qu'il ne lui en voulait pas.
Il se redressa et regarda tout autour de lui. Tout se métamorphosait. La pièce se transformait avec une rapidité impressionnante. Des murs d'obsidiennes s'étaient formés entre les arcades, la porte avait disparue. La voûte n'était plus visible, remplacée par de longues rangées de dispenseurs qui s'étaient matérialisés au-dessus de leurs têtes. La machine d'Aypierre se refermait sur eux. Le lit s'éclipsa, remplacé par une grande tombe immaculée, seul point clair dans tout le noir de l'obsidienne qui les entourait entièrement à présent. Une lumière laiteuse tomba sur la sépulture : l'aube se levait. Une petite ouverture avait été aménagée à cet effet, très haute, si chétive: inaccessible et inutilisable. Le faisceau tombait obliquement et était renvoyé pour la stèle, créant des reflets argentés sur la pierre polie telles des larmes d’Apache. Aypierre avait vraiment bien fait les choses.
Siphano étendit précautionneusement Xef au sol et s'approcha de la tombe lactescente.
« ci-gît Bill Silverlight
Directeur de Languagecraft, Patrick, Constructeur, Architecte, Historien et mon meilleur ami
Maudit soit le destin, qui à nous t'a ravi,
Si ton cœur s'est éteint, dans le nôtre tu vis. »
C'était donc vrai. Bill était mort... Lui aussi... Aypierre lui avait vraiment fait un beau tombeau. Bill avait eu de la chance d'avoir un tel ami. Siphano se souvint de la bataille du Nether. De tous ces corps sanguinolents, étalés à même le sol. Abandonnés, oubliés par les survivants et qui allaient servir de pâture aux immondes créatures de cet enfer. Bill se trouvait ici. Il était le seul à n'avoir pas voulu la victoire, sa mort était inutile puisqu'il ne participait pas à la compétition. Il s'était passé en huit jours un gâchis incroyable. Siphano mit un genou à terre dans un salut muet au défunt. C'était la première fois qu'il s'inclinait devant quelqu'un. Son orgueil et sa liberté lui avait toujours interdit de courber l'échine, quelque soit le contexte. Mais là, cet hommage était indispensable. Il se releva les yeux toujours fixés sur l’inscription.
Un bruit de piston retentit à ses oreilles. Au fond de la salle était sortis de terre un coffre. Il ne contenait qu'un livre. Siphano revint auprés de Xef toujours inconscient. Brioche défit le ruban rouge et ouvrit respectueusement le carnet. Sur les pages d'un blanc cassé, les mots avaient été tracés à l'encre noire. L’écriture était très soignée, mais par endroit l'auteur n'avait pas réussit à contrôler son émotion, et la plume avait arraché la fibre du parchemin. Alors Brioche se mit à lire à voix haute. Les mots, purs, transparents, coulaient de ses lèvres et résonnaient dans le silence comme des notes de musique. Siphano regarda Brioche, fasciné. Il ne lui savait pas ce talent d'orateur. Il écouta avidement.
« Le septième jour, avant le soir, dans le désert, à 600 bloques d'ici, à 500 de la cité, est mort mon ami. Je ne demande pas vengeance car Bill n'aurait pas voulu que plus de sang coule, même de celui de l'homme qui l'a tué. Notre seul ennemi est nous même, notre avidité, notre ambition. Si je n'avais pas travaillé jour et nuit à gagner cette cité, j'aurais pu peut être empêcher ce massacre. Un jeu ne fonctionne que s'il y a des joueurs. Il y a suffisamment eu de tuerie comme cela. Arrêtons-nous, maintenant. Qu'il n'y ait pas de gagnant, car l'unique et vrai vainqueur sera la mort de toute manière. Je suis aussi sale que celui qui a baigné ses mains dans le sang de Bill Silverlight, mais je crois que plus personne parmi nous ne peut s’affirmer pur en tout honnêteté. Réunissons nous, survivons ensemble pour empêcher dans l'avenir d'autres innocents de devenir des meurtriers ou des victimes. Je vous attends dans le biome forêt, à coté de la falaise.
Que vous me rejoigniez ou pas, avant de partir prenez garde à ne rien changer à ce tombeau. Le souiller serait le seul moyen de vous attirer mes foudres. Ne touchez à rien, et vous pourrez sortir d'ici sain et sauf. Dégradez quoi que ce soit et ce sera la mort immédiate.
A tout jamais, Aypierre »
Brioche remit respectueusement le livre dans le coffre, qui disparu aussi vite qu'il était apparu. Le tombeau effectua sa métamorphose à l'envers. Les grandes fenêtres réapparurent. La pièce redevint la chambre bleutée qu'ils avaient vu au début. Les rayons matinaux du soleil donnaient une vie nouvelle au lieu. Siphano et Brioche se regardaient.
« Bill Silverlight était le constructeur de cette maison ? - Oui »
Il retombèrent dans le silence, gênés.
***
Tout tournait. Shorty reprenait lentement ses esprits. Il avait l'impression que sa tête aller exploser. Ses cheveux lui tombaient devant les yeux. Le sang avait séché sur le coté de son visage. Ses membres étaient courbaturés à force d'être resté dans la même position. Il essaya de bouger. Ses esprits revenaient peu à peu. Les corde lui lacéraient les poignets. LES CORDES !! Il était attaché ! Paniqué, il regarda autour de lui. Au mur étaient accrochées deux torches qui envoyaient leurs flammes mouvantes sur les parois humides d'une grotte. Il pouvait être n'importe où.
« Tu es enfin réveillé. Nous allons pouvoir enfin commencer. Tout d'abord tu dois te demander pourquoi je ne t'ai pas tué tout de suite. Mais ne t’inquiète pas tu l'auras, le sommeil reposant de la mort. Le temps qu'il mettra à venir ne dépend que de toi. Si tu me répond tout de suite, la Mort te tendra ses jolis bras comme une bonne amie et vous partirez tout les deux en riant. Mais si tu es retissant, si tu t'attache à des idéaux stupides de loyauté ou autre, tu connaîtra avant la lame froide du couteau et la Mort même ne te reconnaîtra pas en le tas de bouillie sanglante que je laisserai quand j'aurais fini. Charmant programme, n'est ce pas mon cher ? Pas vrai que tu vas être gentil ? Pas vrai que tu vas me dire où se trouve la base de ton ami, de ton connard d'Aypierre, hein ?
- Je ne sais pas, Skillnez. Écoute si tu...
- Bien, je crois que tu n'as pas compris ma question ? Dois je la répéter ? Dit il en prenant un petit couteau blanc.
- Je ne sais pas ! Je ne sais pas !
- C'est bien ce dont je me doutais. Tu suintes de vertu écœurante. La fidélité, l'héroïsme… Il va falloir être plus persuasif, mais je saurais l'être mon ami, mon très cher abruti d'ami. »
Skillnez alluma une grand feu coté duquel il mit à chauffer de grands contenaires d'eau. Celle ci commenca immédiatement à s'évaporer et l’atmosphère devint très vite étouffante dans la grotte. La roche était brûlante, le plafond bas oppressait la pièce et l'air imbibé d'eau devenait irrespirable. Skillnez déchira les vêtements de Shorty et l'arrosa d'eau glaciale. Il eut le souffle coupé par la violence du choc. Sa peau dilatée par la chaleur avait sentit le froid comme un coup de fouet.
« Tu n'est pas solide, Shorty, dit donc. Je n'ai rien commencé, ce sont les préliminaires pour que tu puisses déguster à sa juste valeur l'art que je vais exercer à son plus au niveau. »
Shorty le foudroya du regard. Il verrait s'il n'était pas solide. Il avait été naïf, il avait été sot, mais sa bêtise n’entraînerait que lui, pour aucune raison Aypierre n'allait en payer le prix.
« Tu regretteras de pas m'avoir écouté.
- Je t'écoute, donne moi l'emplacement de la base d'Aypierre. »
Le premier coup de fouet siffla dans l'air et claqua sur la peau nue sans qu'un gémissement ne franchisse les lèvres de Shorty. Il fut suivit d'autres qui ne lui arrachèrent aucune plainte, alors Skillnez changea d'instrument. Neuf lanière de cuir munies à leur bout d'un harpon de fer l'écorchèrent mais le bras de Skillnez se fatigua plus vite que les lèvres serrées de Shorty. Skillnez voyait bien que la torture banale ne servirait à rien, c'était l'heure de l'élever au rang d'art, de la manier comme une science. Faire mal est une chose, pousser quelqu'un à la folie par la souffrance en est une autre. Sur le bras tendu de Shorty il enroula le fouet. Il encra les fers des hameçons dans la peau et tira d'un coup bref. Les lanières claquèrent. Skillnez fut arrosé de sang. Shorty hurla. Les pointes de fer, étant coincées entre le muscle et l'épiderme, l'avaient arraché sur toute la longueur du bras. Le sang dégoulinait en cascade rouge et poisseuse et allait rejoindre le feu par la pente naturelle de la grotte où il brûlait dans la même odeur âcre de chairs carbonisées qui avait emplis les fumées du Nether durant la bataille. La fumée piquante de sang bouilli remplissait tout l'espace.
A l'aide d'un lanière de cuir, Skillnez stoppa l'hémorragie au niveau de l'épaule. Il voulait faire souffrir, pas tuer. La principale difficulté pour un bourreau est de laisser en vie sa victime le plus longtemps possible afin quelle profite d'une longue agonie douloureuse à souhait. Sur une grille au dessus du feu, il fit chauffer des pointes qui ressemblaient à des aiguilles et une multitude de couteaux aux lames varier, des lames simples, fines et droites, des lames en dents de scie, des lames ondulantes comme des serpents... Quand elles furent chaudes, Skillnez choisit soigneusement une petite dague toute simple et la passa entre les restes de peau et de muscle, épluchant méticuleusement le bras comme ont enlève la peau d'un légume pour avoir accès à la chair. Le fer rouge touche la blessure inondée de sang dans un jaillissement de fumèe. La chaise en dessous cuit immédiatement. Les fibre se rétractèrent. Toute l'eau du sang s'évapora. Shorty hurla. Skillnez lentement sculpta de long scilons dans le bras, arracha une a une les fibres. Un instant, il s’amusa à gratter les nerfs, à les tirer comme s'il jouait de la harpe.
Voyant que Shorty s’apprêtait à s'évanouir, Skillnez passa juste devant ses yeux, à quelques centimètres du visage du jeune homme deux torches dont la flamme lui roussit les sourcils. A l'aide d'un petit crochet, il attrapa la paupière et la tira contre le sourcil. Shorty ne pouvait fermait les feus et le feu des lampes lui brûlait la rétine, lui faisant voir des hallucinations que son cerveau prenait pour réalité. Mais bientôt Shorty ne vit plus rien. Il ne sentait plus que la brûlure de ses yeux qui n'était plus que deux globes injecté de sang et dont la pupille était devenue blanche, deux globe qui pendaient amorphe, deux globes dans les quels Skillnez planta ses aiguilles chauffée au fer blanc qu'il fit tourner dans les orifices. La sang inonda le visage de Shorty, couvrant ses joues d'un rivière rouge, entrant dans sa bouche. Quand Skillnez retira son bras se ne fut que pour laisser de grand tous rouge vomissant un flot cramoisie continue.
"La mémoire t'est elle revenue ? Aller mec, abrège tes souffrances.
- … … Va au diable, rejoint l'enfer dont tu n'aurais jamais dû sortir, connard. … …
- He bien voilà qu'il est pas joli-joli, blasphème et grossièreté. On va s’occuper de ton éducation tout de suite mon coco."
Dehors, une lune de nacre brillai dans un ciel parsemé d'étoile . C'était un spectacle magnifique, le spectacle de la vie qui continue. Dans sa grotte, Skillnez joua sur chaque tendon du bras, sur chaque fibre des muscles. Il le réduisit les membre en une bouilli informe sans cependant obtenir plus une parole de plus. Il s'attaqua à l'autre bras, puis au jambes. La torture dura longtemps, longtemps. Chaque seconde pour Shorty était une nouvelle agonie, un nouveau supplice. Son esprit tremblait au gouffre de la folie. La douleur était telle qu'il en oublié jusqu'à son nom, jusqu'à son être. Tous ses sens étaient morts. Pouvait il encore parler ? Criait il en ce moment ? Il ne le savait plus. C'était comme un énorme fracas dans son crane. Ses pensées et ses souvenirs se heurtaient et tombaient en morceaux. On lui cassait la cervelle. Et puis soudain tout se tu. Un vide rentra dans sa tête et il se cru chuter dans un abîme infini, des ténèbres noires sans forme ni limite. Il oublie à tout, son identité, son passé, ses rêves, tout. Mais dans cet abandon complet brillait une étoile loin au dessus de lui, inatteignable mais persistante. Il sombrait mais l’espoir perdurait. Un espoir irrationnel, un espoir sans nom. Ce qui brillait la bas n'était pas pour lui, mais d'autres y goûteraient. Il sombrait entièrement. Mais il était heureux. Il avait réussi. L'espoir continuait à briller. Et tout se referma tout à coup, il eut juste le temps de murmurer à voix si basse, sans presque bouger les lèvres. : « Je te pardonne »
***
Le wagon n'était pas encore arrêté qu'Aypierre sautait sur le quai. Il n'y croyait pas. Comment avait-il été aussi aveugle pour ne pas s'en rendre compte plus tôt. Bill, Bill, bon sang, voilà pourquoi il avait été tué. Sachant tout ce qu'il savait, évidement que le maître du jeu n'avait pas eut envie de le laisser courir. Aypierre savait qu'il était en danger maintenant qu'il détenait le secret. Bill avait réussit à lui passer le relais avant de mourir ; il fallait que lui, Aypierre, le passe à quelqu'un d'autre pour que s'il se faisait éliminer, la découverte de Bill ne soit pas perdue.
Aypierre ouvrit violemment la porte qui se cogna contre le mur avec un grand bang. Il était retourné dans sa base sur le toit du Nether. Il y avait un ami, un ami fidèle prêt à risquer sa vie pour lui, un ami qui l'attendait. « SHORTY ! » hurla t-il « SHORTY » Le salon était désert. Aypierre, fébrile, se précipita dans la chambre qu'il avait improvisée hier pour son ami. Elle était vide. Vide et froide. Aypierre recula d'un pas. Toute sa base sentait la mort.
« Shorty ! Non... Où es-tu ? Tu ne peux pas être parti. Tu ne peux pas. Tu m'avais promis de rester. J'ai été aveugle, Shorty, mais tu m'avais dit que tu m'attendrais. Maintenant que je me réveille enfin, où es tu ? J'ai besoin de ton aide ! Je ne peux pas porter cela tout seul. C'est trop lourd. Shorty, Bill est m... Bill est mor... Je ne peux plus, je ne peux pas, pas tout seul. Tu as dit que tu serais à mes cotés, TU L'AS DIT ! Shorty ! » Il s’effondra, le dos contre le mur, assis à même le sol. Il se sentait vidé. Comment retrouver Shorty ? Il pouvait être partout... Il ne lui restait plus qu'a attendre. Aypierre se couvrit le visage de ses mains. Il ne savait pas faire, cela, attendre. Il était toujours actif. Il avait besoin de faire quelque chose et non pas rester là à se tourner les pouces quand il se passait des choses au dehors. Il imaginait les pires scénarios. Soudain il se leva. Il lui avait peut-être laissé un mot, quelque chose.
Sur la table se trouvaient deux papiers. Aypierre prit le premier et son cœur se serra. Fallait- il vraiment jeter du sel dans la plaie… c'était les morts de la veille. Thaek, Harry et Bill. Il n'y croyait pas. C'était horrible. Il revoyait le désert et son ami... Thaek et Harry ont été tués par Siphano. Au moins il avait dû faire cela bien, rapidement et sans souffrance. Aypierre connaissait Siphano comme quelqu'un de loyal. Il était loin de s’imaginer le vrai déroulement du combat, Thaek cloué à un arbre par une flèche au travers de la gorge et Harry la Franc suffoquant sous le gravier après s'être douloureusement et inutilement blessé la main sur le verre des lunettes…
L'encre avait coulée et s'était dissoute dans des traces d'eau semblables à des larmes. Shorty. Voilà pourquoi il n'était pas là. Il avait vu la mort de ses derniers amis et avait voulu agir... Le regard d'Aypierre tomba sur l'autre papier, les morts d'aujourd'hui comprit-il ; il était minuit. Le papier craqua quand il le déplia. Une lumière blanche semblait sortir du cœur même de la feuille. Lorsqu'il passa son doigt contre la tranche du papier, Aypierre se coupa. Une goutte de sang vermeil tomba sur la surface immaculée, la souillant d'une trace rouge. Les lettres noires dansaient devant ses yeux. Ses mains se mirent à trembler. Son cœur vibra dans sa poitrine et se cassa. Shorty, alors c'était son tour ? Non, Non ! Il cria « J'aurais pu le sauver ! Il était là, hier ! Vivant ! »Non c'était faux ! FAUX ! Il allait arriver d'un moment à l'autre ! Souriant, les yeux plein de malice et lui dire « alors, tu as changé d'avis ? On va sauver le monde ensemble ? » Comment pouvait il être mort ?! Pas Shorty ! Pas Shorty ! Pas le dernier des Patrick ! D'un geste brusque, Aypierre renversa la table. Une rage sans nom, telle une drogue, se rependait dans son sang. Il bouillait. Il attrapa une chaise qu'il lança de toute sa force. Elle tapa contre le mur et éclata en morceaux de bois, qui volèrent à travers la pièce. Aypierre était un gagnant. Il n'était pas habitué à l’échec. Shorty était mort. SHORTY ETAIT MORT ! ! ! Comment avait-il pu laisser cela ce produire ? Comment avait il pu être aussi sot ? Il aurait dû sauver Shorty ! C'était son devoir ! Shorty voulait sauver tous les participants et lui Aypierre n'avait même pas pu le sauver lui. La mort de Bill ne lui avait donc rien appris ? Raah ! Le maître, ou plutôt la maîtresse du jeu, allait payer !
Shorty a été tué par Skillnez Merci énormément de vos retours sur la première partie de ce jour !  J’espère que sa suite vous plais tout autant. Si vous voulez que je vous envoie un PM à la sortis de chaque nouveau chapitre demander moi en ami.
J'ai encore une question, pas simple curiosité : Quand Brioche va entrer dans la chambre de Bill, une mains s'est posée sur son épaule, par la suite on apprends que c'est Siphano, mais à ce moment là, à qui avez vous pensé ?
Dernière choses la suite s'appelle "Chapitre 6, jour 9, partie 1 : Un Choix" |
| | CrazyAdministratrice - Déesse des ships Zodiaque :  Messages : 1075
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| Dim 7 Sep - 10:24 Crazy Et bien tu sais quoi? C'est reparti pour un looong com XD
PDV Fukano: Fuka sauve toi tres loin. COURS POUR TA VIE et retourne aupres d'Aypierre il a besoin de toi !
PDV Brioche: Brioche tu me desespere. serieusement. Bon au moins tes a l'abri. Quoique. Je t'avoue avoir pense a Aypierre avant de me rappeler quil etait parti puis au fantome de bill (ouais jsuis bizarre) et enfin au maitre du jeu
PDV Frigiel: Frifri au moins toi tes meugnon mais t'es un peu con. Genre tu vas reussir a te faire oublier du maitre du jeu et Potaro est encore une fois splendide
PDV SiphaTeam: Ah Bri est en securite. Siph l'engueule pas... TU LAS GIFLE NON MAIS OH TU VEUX QUE JE TE BUTE? ok au moins Aypierre ne les a pas tues. et cette entrée dans la maison me va. C'est Bri il est innocent il veut pas de mal a personne. Pourvu qu'ils rejoigne Aypierre. J'espere tellement qu'ils restent en vie tout les 3 ...
PDV Shorty: J'etais morte de rire tout le long (et tu te dis neutre) je suis neutre CAPISH OCEANE? (Tu es sadique) Chuut. Bref. Serieusement c'etait cool. Mais pas sur Shorty. Shorty a rien demande et il creve. Son seul tort etait d'etre ami avec Aypierre. Au moins il a rien dit. Mais je comprends pas qu'il est pardonne Skill. A moins qu'il ne l'ai fait pour faire enrager le maitre du jeu (oui jai lu jusqu'au bout mais a ce stade on ne sait rien) ou parce qu'il sait Skill fou. En tout cas cest un beau geste de sa part. Pardonner quelquun qui vous a fait souffrir cest dur...
PDV Aypierre: Waah le pauvre Harry Thaek Bill puis Shorty. Il te reste Fuka. Trouve le et protege le comme si c'etait toutes les emeraudes du monde. Je t'en supplie Pierre. Et prends aussi la SiphaTeam. S'il te plait. (ok elle veut pas que Siph ou Fuka meurt) Bah non. et surtout ne tue pas toutes ces personnes |
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| Dim 7 Sep - 10:41 Lielea Moi avant de lire le chapitre: "cool, un nouveau chapitre^^je vais bien m'amuser en le lisant  " Moi en fin de chapitre: " Noooon!!!! Mais pourquoi?! C'est pas juste  Desespoir!!!! J'auras du savoir..." Bon... Je vais quand même faire mon "analyse" habituelle... Première partie: Fukano. Il me plait bien^^Au début (dans les premiers chapitres) je le trouvais un peu trop envieux de sang; je trouvais que ça n'allait pas avec lui, mais la tu l'intègres de telle façon dans l'histoire que cela semble normal... De le voir courir comme ça, sa "transformation" lorsqu'il se rend compte de la faiblesse des humains, cette reprise d'une espèce de courage (même si je ne suis pas sur que le courage soit une bonne idée dans la CHM^^) tout ça se passe dans une sorte de logique. J'ai l'impression que lui suit un peu Aypierre: Il essaye de ne plus être humain, sauf qu'au lieu de devenir machine il devient animal (du coup oublie-t-il les choses qui différencient les animaux des humains, comme par ex. la compassion, l'amitié, mais aussi le désir de pouvoir? ou reste-t-il le même, a-t-il ses pensées d'homme dans son corps de tigre? Je ne sais pas encore, je sens qu'on le découvrira rapidement) Bref, j'aime bien sa partie, elle met en avant une thématique très intéressante puisque le chasseur est chassé et devient du coup un chasseur bien plus dangereux... je vais faire une partie pour l'équipe de siph plus tard je te répondrais a ce moment à ta question sur brioche... Du coup je prends le tour de frigiel^^J'aime bien le fait qu'on voie son ancienne équipe peu avant, on voit ce qu'elle devient (Bboy qui est "l'esclave" d'ectalite ...) et ensuit on apprend enfin ce qu'est arrivé a fri. Il décide de partir... Je pense que c'est une des meilleurs idée possibles dans cette phase du jeux, mais ça m'étonnerait que ça marche, rien qu'avec le mur dans la forte je pense que le maitre du jeu (maitre hein!?) a prévu de ne laisser personne s'échapper, ce ne serait pas drôle! quant à son "tribunal"... je ne crois pas qu'il est aussi innocent que ce qu'il semble croire, mais j'apprécie beaucoup cet esprit là, de chercher ce qu'on a fait faux, de regretter, d'essayer de se pardonner. Ce rendre compte comme ça de ses erreurs n'est pas facile, et j'aime beaucoup comme tu le soulignes aussi avec le ciel qui change en fonction de ses pensées^^ça rajoute un effet de calme, car sinon je pense que cette partie aurait provoqué une sorte d'ennui, mais comme ça sa fait un moment de calme, un moment pour réfléchir aussi aux autres personnages... Quant à la fille... Son apparition est impressionnante... Mais les deux? ensembles? avec les pensées actuelles de Potaro? Hmmm, Fri semble en tout cas conquis! J'ai hate de savoir ce qui va se passer entre les deux! Ma petite Brioche! Tu es tellement innocent! C'est pas possible, j'étais déchirée entre lui crier dessus a code de ses bêtises ou d'en rigoler... c'est tellement naïf! J'ai bien souri lorsque tu as décrit son chemin... On dirait qu'il n'a toujours pas compris que la CHM est un piège mortel... Par contre vu ta description, la maison est magnifique... Je pense que personne n'aurait pu résister à l'envie de la visiter...Tu la fais comme une sorte de rêve: La seule chose belle et tranquille de toute la cité... Et la il y a une main! Tu m'as limite fait sursauter, j'étais tellement perdue dans la "contemplation" de la maison... J'ai cru que c'était une sorte de monstre, ou encore Aypierre qui allait tuer Bri, je ne m'attendais pas du tout a la venue de siph et xef! certes, l'idée m'était passée par la tête mais je me suis dit que ce serait trop beau... Du coup merci! En plus tu as confirmé mon idée de la derniers fois, lorsque tu as dit que la tombe serait visitée, j'avais l'impression que ce serait eux qui la trouveraient... Quant a ce qui se passe dans la tombe, (mis a part la peur que j'ai pour xef maintenant) c'est aussi d'une beauté... On sent encore tellement la tristesse laissée par le deuil d'Aypierre... et Siphano qui s'agenouille devant la tombe... Magnifique! Je me demande ce qui se passera si ils s'allient avec Pierre... La CHM a-t-elle cru encore une chance de se terminer bien (bien est limité, il y a déjà eu trop de morts pour que ce soit parfait, et happy end...) Je sais que ce n'est pas une bonne idée de se faire de l'espoir... mais je ne peux pas m'en empêcher (je sais, je vais souffrir...) Passons à la perte avec shorty... je sas pas ou tu as appris l'art de la torture mais je n'ai aucune envie d'être détestée par toi... C'est effrayant! Et pourtant... pourtant c'est tellement bien écrit! J'ai eu des frissons pendant tout le passage... Et la fin... Je me sentais vraiment mal pour shorty, j'avais envie de tuer skill moi-même, mais la derniers phrase, ce "je te pardonne", même si j'étais triste, et encore sous le choc de ce qui venait de se passer, je me suis dit: "il a raison" Cette phrase fait faire un écart à l'histoire, on arrive de nouveau à se dire mais pourquoi fait-il ça, et on se dit que skill, même si ce qu'il fait est horrible, il doit être fou, une mauvaise folie qui lui déchire l'ame. Peut-etre qu'il a tout perdu, jusqu'a oublier que le bien existe aussi, peut-être qu'il se dit que le bien n'a jamais existé, que tout n'est juste douleur, que le monde est impitoyable et que tout ceux qui croient encore en le verbe "aimer" n'on juste pas encore compris à quel point le mal domine tout... Wow, ce que je viens d'écrire n'était pas du tout prévu... mais j'ai l'impression, que même si ça n'excuse pas tout, ça explique au moins quelques trucs... en fait skill est vraiment seul, il me fait de la peine... Et Aypierre... Le pauvre... tu ne lui laisses vraiment plus rien... même pas le choix de devenir fou, ce qui semble être une sorte de libération... mais il est trop intelligent, et il sait trop de choses... il ne peut juste pas se le permettre. J'ai l'impression que Aypierre, en se "réveillant" est le seul a voir! ce qui se passe. Il comprend, comme skill, l'horreur du monde, mais contrairement a lui il est assez fort, il faut qu'il soit assez fort. D'ailleurs il est le seul dont la rage se dirige contre la bonne personne... Laisse le vivre, laisse le prendre le contrôle, laisse le voir, pour que le monde ne soit pas totalement envahi par le chaos... ET cette dernière phrase! La MAITRESSE?!!!! du jeu! Tu te moques de moi?! en même temps j'aurais du m'y attendre, seul une femme peut haïr à ce point et en développer une telle horreur... Hmmm. Je me demande qui c'est... Et surtout: Comment Aypierre a-t-il eu cette idée? Je veux dire, ça peut être logique mais quand même... En fait c'est surtout une choses de plus qui montre que le maitre du jeu n'a plus toute la maitrise sur sa création... Il (ou plutôt elle) c'est trop impliquée. Elle devient de cette façon "visible" et de cette façon elle perd le contrôle. Surtout avec des gens aussi intelligents que Aypierre et Bill... elle aurait du s'attendre à ce qu'ils ne se laissent pas faire... C'est une grande erreur de sa part je trouve... Ceci étant dit, il ne me reste plus qu'a attendre la suite pour voir ce qui se passera, je dis dire que je suis de plus en plus intriguée, j'ai de plus en plus envie de savoir, de enfin tout comprendre! Et ça c'est un grand talent que tu as je trouve. Ce fait de monter le suspense de plus en plus est vraiment admirable, c'est lui qui fait, pour ma part, les bons livres. Donc bravo! et merci pour ce chapitre, et l'histoire que tu nous montre là... Sur ce j'espère que je ne te donnerai pas trop de travail en essayant de comprendre la masse que je viens d'écrire (c'est peut être un tout petit peu trop long... tant pis je vais pas changer maintenant, après avoir écrit pour 40 minutes... (environ, et ce fut un plaisir!) ) J'ai déjà envie de savoir ce que tu me répondras! |
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| Dim 7 Sep - 10:46 Nizzy  Ce chapitre est tellement pleins d'émotions! Je ne sais même plus si je dois être triste, en colère,... Tu écris tellement bien! Venons en à mon ressenti détaillé du chapitre!  Fukano: Je me sentais mal pour lui quand j'ai lu qu'il était poursuivi! Ectalite est une vraie pourriture dans ton histoire, Fuka a raison, utiliser Bboy pour faire les tâches dangereuses! Il se croit fort mais c'est un lâche! Fuka l'a bien eu avec sa pomme! tant mieux pour lui! x) Je n'aurais jamais imaginée que l'instinct naturel de Fuka reprendrait le dessus et qu'il deviendrait un prédateur! Ça m'a surprise! J'espère qu'il ne tuera personne et qu'il reprendra vite ses esprits, mais avec toi il faut s'attendre à tous! ^^ Brioche: Pauvre Brioche qui se retrouve seul!  Son caractère lu va tellement bien, naïf et pas conscient du danger. D'ailleurs les règles contrastant avec ce qu'il fait réellement, j'ai trouvé cette idée géniale! J'ai tout de suite reconnu la maison de Bill, et sachant que Aypierre l'avait bourrée de piège, j'ai eu très peur pour lui! Et encore plus quand une main c'est posée sur son épaule! J'ai pensé que c'était un des Patrick encore en vie... Heureusement tu n'as pas fait durer le suspens très longtemps! Et c'est encore mieux que se soit Siphano! ^^ Brioche fait son rebelle, j'aime! En plus Siphano l'a giflé alors il a raison! Et si il n'avait pas désobéit, il n'aurait pas vu le tombeau de Bill. La pièce où repose Bill est tellement bien décrite, c'est superbe! *-* Et tant mieux que ce soit eux qui le trouve car il le respecte, j'ai trouvé cette scène magnifique d'ailleurs!  Maintenant il y a leur groupe qui est au courant de la révolte aussi, mais il reste des cas qu'ils vont avoir du mal à raisonner! Frigiel: Le solitaire.... Il me fait mal au cœur le pauvre! Mais qu'il prenne la résolution de ne pas tuer, c'est génial! Et quand il reconnait ses tords, c'est tellement bien, ça prouve qu'il est gentil et raisonné! Quant à la silhouette qu'il voit... Ça ne peut être que Potaro, fait attention Fri! Shorty: Il est tellement gentil! Il avait toutes les qualités d'un héro! J'ai adoré son personnage, il ne trahis pas ses amis et pardonnes ses ennemis alors que Skillnez lui a fait vivre un enfers! J'adore vraiment sa mentalité! Aypierre: Il me fait tellement mal au cœur! C'est mon personnages préféré, il perd tous ses amis et pourtant il ne ressombre pas dans la méchanceté! En plus le texte que Brioche a lu et qu'il a écrit et tellement beau et touchant! Il va faire payer tout ça au maître du jeu, j'ai hâte de lire ça! Voilà, j'ai super hâte de lire la suite, je suis complètement fan de cette histoire! *-* |
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| Dim 7 Sep - 10:50 M.S. - Neutral's Princess Crazy a écrit:
- Et bien tu sais quoi? C'est reparti pour un looong com XD
PDV Fukano: Fuka sauve toi tres loin. COURS POUR TA VIE et retourne aupres d'Aypierre il a besoin de toi !
PDV Brioche: Brioche tu me desespere. serieusement. Bon au moins tes a l'abri. Quoique. Je t'avoue avoir pense a Aypierre avant de me rappeler quil etait parti puis au fantome de bill (ouais jsuis bizarre) et enfin au maitre du jeu
PDV Frigiel: Frifri au moins toi tes meugnon mais t'es un peu con. Genre tu vas reussir a te faire oublier du maitre du jeu et Potaro est encore une fois splendide
PDV SiphaTeam: Ah Bri est en securite. Siph l'engueule pas... TU LAS GIFLE NON MAIS OH TU VEUX QUE JE TE BUTE? ok au moins Aypierre ne les a pas tues. et cette entrée dans la maison me va. C'est Bri il est innocent il veut pas de mal a personne. Pourvu qu'ils rejoigne Aypierre. J'espere tellement qu'ils reste en vie tout les 3 ...
PDV Shorty: J'etais morte de rire tout le long (et tu te dis neutre) je suis neutre CAPISH OCEANE? (Tu es sadique) Chuut. Bref. Serieusement c'etait cool. Mais pas sur Shorty. Shorty a rien demande et il creve. Son seul tort etait d'etre ami avec Aypierre. Au moins il a rien dit. Mais je comprends pas qu'il est pardonne Skill. A moins qu'il ne l'ai fait pour faire enrager le maitre du jeu (oui jai lu jusqu'au bout mais a ce stade on ne sait rien) ou parce qu'il sait Skill fou. En tout cas cest un beau geste de sa part. Pardonner quelquun qui vous a fait souffrir cest dur...
PDV Aypierre: Waah le pauvre Harry Thaek Bill puis Shorty. Il te reste Fuka. Trouve le et protege le comme si c'etait toutes les emeraudes du monde. Je t'en supplie Pierre. Et prends aussi la SiphaTeam. S'il te plait. (ok elle veut pas que Siph ou Fuka meurt) Bah non. et surtout ne tue pas toutes ces personnes Fukano, run for your life ! oh, j'adore tes commentaires, il sont si drôles... Merci de m'avoir répondu pour Brioche. Non tu n'est pas bizarre, tu as pensée exactement ce que je voulais que tu penses. Je voulais vérifiée car ma copine qui corrige mon orthographe n'a pas du tout pensé a eux donc je voulait voir si j'avais rater le truc, mais non apparemment. Oui, Frigiel et un peu con. Il essaye de se sauver à sa manière. Ca à la prestige de ne tuer personne... Oui la redstone d'aypierre n'as tuer personne finalement, dans un des brouillons, j'avais décidé de tuer Xef ainsi mais non. la torture de Shorty n'était pas assez douloureuse pour toi ? Très bien, ne t'inquiété pas, l'horreur va venir... Il pardonne à Skillnez pour plusieurs raison : il sais qu'il est devenu fou et que donc c'est pas que de sa faute et il sais aussi que son véritable boureau n'est pas Skillnez mais le maître du jeu car c'est lui qui est la cause de tous. Ha ha, qu'est ce que va faire Aypierre ? la suite dans le prochain épisode ! |
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| Dim 7 Sep - 11:32 M.S. - Nizzy a écrit:
Ce chapitre est tellement pleins d'émotions! Je ne sais même plus si je dois être triste, en colère,... Tu écris tellement bien! Venons en à mon ressenti détaillé du chapitre! Fukano: Je me sentais mal pour lui quand j'ai lu qu'il était poursuivi! Ectalite est une vraie pourriture dans ton histoire, Fuka a raison, utiliser Bboy pour faire les tâches dangereuses! Il se croit fort mais c'est un lâche! Fuka l'a bien eu avec sa pomme! tant mieux pour lui! x) Je n'aurais jamais imaginée que l'instinct naturel de Fuka reprendrait le dessus et qu'il deviendrait un prédateur! Ça m'a surprise! J'espère qu'il ne tuera personne et qu'il reprendra vite ses esprits, mais avec toi il faut s'attendre à tous! ^^ Brioche: Pauvre Brioche qui se retrouve seul! Son caractère lu va tellement bien, naïf et pas conscient du danger. D'ailleurs les règles contrastant avec ce qu'il fait réellement, j'ai trouvé cette idée géniale! J'ai tout de suite reconnu la maison de Bill, et sachant que Aypierre l'avait bourrée de piège, j'ai eu très peur pour lui! Et encore plus quand une main c'est posée sur son épaule! J'ai pensé que c'était un des Patrick encore en vie... Heureusement tu n'as pas fait durer le suspens très longtemps! Et c'est encore mieux que se soit Siphano! ^^ Brioche fait son rebelle, j'aime! En plus Siphano l'a giflé alors il a raison! Et si il n'avait pas désobéit, il n'aurait pas vu le tombeau de Bill. La pièce où repose Bill est tellement bien décrite, c'est superbe! *-* Et tant mieux que ce soit eux qui le trouve car il le respecte, j'ai trouvé cette scène magnifique d'ailleurs! Maintenant il y a leur groupe qui est au courant de la révolte aussi, mais il reste des cas qu'ils vont avoir du mal à raisonner! Frigiel: Le solitaire.... Il me fait mal au cœur le pauvre! Mais qu'il prenne la résolution de ne pas tuer, c'est génial! Et quand il reconnait ses tords, c'est tellement bien, ça prouve qu'il est gentil et raisonné! Quant à la silhouette qu'il voit... Je ne sais pas du tout qui ça peut être... Shorty: Il est tellement gentil! Il avait toutes les qualités d'un héro! J'ai adoré son personnage, il ne trahis pas ses amis et pardonnes ses ennemis alors que Skillnez lui a fait vivre un enfers! J'adore vraiment sa mentalité! Aypierre: Il me fait tellement mal au cœur! C'est mon personnages préféré, il perd tous ses amis et pourtant il ne ressombre pas dans la méchanceté! En plus le texte que Brioche a lu et qu'il a écrit et tellement beau et touchant! Il va faire payer tout ça au maître du jeu, j'ai hâte de lire ça! Voilà, j'ai super hâte de lire la suite, je suis complètement fan de cette histoire! *-* Qu'est ce que c'est gentil de me faire un résumé du chapitre ! j'adore les résumés ! Oui, tu as parfaitement raison pour Ectalite. j'aime beaucoup comment tu parle de lui, dans le chapitre suivant on va voir le point de vue interne de Bboy et je pense qu'il va te plaire. Quand à Fukano, je voulais profiter de sa double nature et faire un truc un peu original, l'on pouvait faire des chose pas mal avec cela... Et tu as raison de t'attendre au pire ! Pour Brioche, les règles sont une petite ironie que j'ai aimé mettre. Tu as reconnu la maison de Bill et tu as eut peur pendant tout les descriptions en attendant que les pièges se mettent en marche ? parfait, tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possible, c'est ce que je voulait faire. Mon ami qui me corrige ne suis pas du tous Youtube, donc elle n'avait pas compris et je ne pouvait pas savoir si cela allait... Effectivement, j'ai coupé le point de vue au moment ou quelqu'un arrive, je n'avait pas pensé que cela pourrait être un Patrick mais à la réflexion ce n'est pas mal comme idée ! Brioche en mode rebelle, j'ai bien aimé écrire cela aussi Oui, il faut que la pièces où repose Bill soit superbe ! Je tue les personnages que j'aime bien, mais je leur offre un beau tombeau. Aypierre à bien fait les choses. Frigiel est le point de vue calme de l'histoire. Il faut bien des pauses parfois... Quand à la silouette, c'est un indice ( très gros indice) sur quelque chose qui a commencé de puis un jour mais qui n'aboutira que dans deux jour, quelque chose de très important et à vraiment long terme.... oui, Shorty est gentil, c'est un des rare personnages qui le soit. J'ai beaucoup hésité à le tuer, mais je l'ai fait ( pour plusieurs raison qu je tairait) parce qu'il devient encore plus beau dans la mort par son héroïsme face à la torture.. pendant ce temps Aypierre n'arrive pas à reprendre le contrôle de la situation, tout ses amis lui file entre les doigts comme de l'eau courante. On verra bien pour la suite...  Merci beaucoup de ton commentaire !  j'en suis fan  . |
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| Dim 7 Sep - 12:10 Crazy - Michel Strogoff a écrit:
- Neutral's Princess Crazy a écrit:
- Et bien tu sais quoi? C'est reparti pour un looong com XD
PDV Fukano: Fuka sauve toi tres loin. COURS POUR TA VIE et retourne aupres d'Aypierre il a besoin de toi !
PDV Brioche: Brioche tu me desespere. serieusement. Bon au moins tes a l'abri. Quoique. Je t'avoue avoir pense a Aypierre avant de me rappeler quil etait parti puis au fantome de bill (ouais jsuis bizarre) et enfin au maitre du jeu
PDV Frigiel: Frifri au moins toi tes meugnon mais t'es un peu con. Genre tu vas reussir a te faire oublier du maitre du jeu et Potaro est encore une fois splendide
PDV SiphaTeam: Ah Bri est en securite. Siph l'engueule pas... TU LAS GIFLE NON MAIS OH TU VEUX QUE JE TE BUTE? ok au moins Aypierre ne les a pas tues. et cette entrée dans la maison me va. C'est Bri il est innocent il veut pas de mal a personne. Pourvu qu'ils rejoigne Aypierre. J'espere tellement qu'ils reste en vie tout les 3 ...
PDV Shorty: J'etais morte de rire tout le long (et tu te dis neutre) je suis neutre CAPISH OCEANE? (Tu es sadique) Chuut. Bref. Serieusement c'etait cool. Mais pas sur Shorty. Shorty a rien demande et il creve. Son seul tort etait d'etre ami avec Aypierre. Au moins il a rien dit. Mais je comprends pas qu'il est pardonne Skill. A moins qu'il ne l'ai fait pour faire enrager le maitre du jeu (oui jai lu jusqu'au bout mais a ce stade on ne sait rien) ou parce qu'il sait Skill fou. En tout cas cest un beau geste de sa part. Pardonner quelquun qui vous a fait souffrir cest dur...
PDV Aypierre: Waah le pauvre Harry Thaek Bill puis Shorty. Il te reste Fuka. Trouve le et protege le comme si c'etait toutes les emeraudes du monde. Je t'en supplie Pierre. Et prends aussi la SiphaTeam. S'il te plait. (ok elle veut pas que Siph ou Fuka meurt) Bah non. et surtout ne tue pas toutes ces personnes
Fukano, run for your life ! oh, j'adore tes commentaires, il sont si drôles...
Merci de m'avoir répondu pour Brioche. Non tu n'est pas bizarre, tu as pensée exactement ce que je voulais que tu penses. Je voulais vérifiée car ma copine qui corrige mon orthographe n'a pas du tout pensé a eux donc je voulait voir si j'avais rater le truc, mais non apparemment.
Oui, Frigiel et un peu con. Il essaye de se sauver à sa manière. Ca à la prestige de ne tuer personne...
Oui la redstone d'aypierre n'as tuer personne finalement, dans un des brouillons, j'avais décidé de tuer Xef ainsi mais non.
la torture de Shorty n'était pas assez douloureuse pour toi ? Très bien, ne t'inquiété pas, l'horreur va venir... Il pardonne à Skillnez pour plusieurs raison : il sais qu'il est devenu fou et que donc c'est pas que de sa faute et il sais aussi que son véritable boureau n'est pas Skillnez mais le maître du jeu car c'est lui qui est la cause de tous.
Ha ha, qu'est ce que va faire Aypierre ? la suite dans le prochain épisode !
Je veux que Fukano vive. en fait je veux juste que Skill Ecta As2 et MdJ creve point XD
Merci j'aime quand quelquun aime ce que j'ecris ^^
Bon ca va alors ^^ sache que tu fais quand meme des fautes ^^ mais le style est tellement beau quelles ne gachent presque rien ^^
C'est sur. Mais c'est con.
Heureusement sinon je l'aurai tue (et Kamia? ) Et merde.
La torture me fais souvent rire. Je suis sadique dans le fond.
c'est vrai mais bon cest bizarre quand meme.
NON JE VEUX SAVOIR |
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| Dim 7 Sep - 12:33 M.S. - Lielea a écrit:
- trop long pour le citer, a mon plus grand bonheur (Mich )
J'adore ton entré en matière ! tu ma fait éclater de rire et mon frère m'a jeter un drole de regard par le porte entrouverte... Au début, il y avait trop de personnage, je ne pouvait pas tous le développer ! Shorty, Fukano, la plus part des Partick, mais aussi Xef, et plein d'autre, était mis un peu de coté pour ne laissé la parole qu'au important. C'est pour cela que je ne justifiait pas son caractère... Maintenant que pas mal de gens sont morts, j'ai plus de temps pour lui. Quand à sa transformation, j'ai voulu exploité sa bipolarité et faire du personnage un truc un peu innovateur. Tu as parfaitement raison, il fait ce que l' ancien aypierre avait fait à sa façon. Tu as de façon indirect répondu a ta question. est ce que Aypierre la machine pouvait ressentir de la compassion ( par exemple quand il a tuer Playfan ) ? Non puisqu'une machine de peux éprouvé de compassion, même chose pour Fukano et dans tous les sens que tu as soulevé. C'est très pertinent comme réflexion. Pour Frigiel, le fait de changé le paysage en fonction de ses pensées est un procédé romantique. C'est un personnage que j'ai particulièrement attaché à se mouvement littéraire et avec le quel je m'amuse à faire beaucoup d’allusion. et oui les paysages sert aussi à diversifié la partie qui je trouve aussi aurait fait très "je parle et réfléchit avec moi même pendant deux heure". Si non je ne dis rien d'autre sur ce que tu dis sur ce personnage, je veux pas spoil... Pour Brioche, cela m'a fait plaisir que tu réagises aisni durant sa partie, entre rire et désespoirs...  Il faut bien un peu d'innocence quoi. Je veux qu'il soit désespérant de naïveté. la maison est belle, la maison est de Bill. J'aime bien ta comparaison avec le rêve. C'est le monde apars de Bill qui au début, malgré tous les conseils d'aypierre, n'en fait qu'à sa tête et construit en surface. Tu as pensais que c'était Aypierre ? parfait ! C'est ce que je voulait, je voulait faire durer le suspense encore un peu mais je pouvait pas, malheureusement, car cela aurait été bien de finir sur cette image de la main. Oui, tu as un peu raison d'avoir peur pour Xef, maintenant le groupe devient faible,Siphano et Xef sont tous les deux blessé et fatigué, c'est pas génial... Mais il n'est pas mort comme je l'avait indiqué sur mes premiers brouillons, donc estimait vous heureux. Tu veux savoir si c'est une bonne idée de se faire encore de l'espoir ? Tu le sauras, et bientôt, car le jour 9 arrive à grand pas ! L'art de la torture est un art qui s'apprends comme le dessin pour les méchants. Cela fait partis de l'être du sadique. Surtout du Sadique solitaire comme moi qui ne me mêle pas de la guerre entre armé... Mais pour ma part, je trouve que Shorty aurait pû avoir un sort pire, je ne trouve pas que je me soit particulièrement lâchée... la phrase 'je te pardonne" qui a donné son nom au chapitre "va ! je ne te fais point" fait partis d'un procédé très vieux qui à commencé avec les premières morts et qui va aboutir ... le jour 15, avec la fin ! Donc biensûr, je n'en parle pas ! Un petit indice comme même, il est en rapport avec toute les morts... Mystère, qu'est ce que j'ai bien voulu dire par là ? JE ne crois pas que tu ais compris/remarqué.  Mais ce que tu dis n'est pas faux du tous, au contraire... bien au contraire... Tu as raison de ne pas être trop dure avec Skillnez et d'avoir un peu de compassion pour lui, il en a bien besoin. Torturer Aypierre ! oh oui ! arrachons lui tous, faisons lui mal ! C'est un plaisir ! En tant que personnage principale et personnage préféré, il n'est pas au bout de ses peines. Ha Ha Ha Ha Ah enfin quelqu'un qui commente la maîtresse du jeu ! quoi j'avait peur à la fin que vous laissiez passez un si gros indice ! Surtout que c'est la seul fois où je vais vous le préciser avant de vous dévoilé (enfin) ce qu'il y a marqué sur les cahiers de Bill ! Ah et enfin quelqu'un qui comprends l'indice. Tu as tous juste pour l'instant, pour l'instant... Enfin, tu as oublié un point tout aussi important... Merci, merci ! pour tous ces compliments, oh tu me fais trop plaisir ! Je t'adore (mais cela ne veus pas dire que je sauverais quelqu'un pour toi !  ) C'est trop gentil ! Et non ce n'est pas trop long ! et Non ne change pas, ne change pas, je t'en supplie ! 40 minute  MERCI ! MERCI ! |
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| Dim 7 Sep - 12:39 Crazy Serais ce Octo la maitresse du jeu? |
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| Dim 7 Sep - 12:51 M.S. - Neutral's Princess Crazy a écrit:
- Michel Strogoff a écrit:
- Neutral's Princess Crazy a écrit:
- Et bien tu sais quoi? C'est reparti pour un looong com XD
PDV Fukano: Fuka sauve toi tres loin. COURS POUR TA VIE et retourne aupres d'Aypierre il a besoin de toi !
PDV Brioche: Brioche tu me desespere. serieusement. Bon au moins tes a l'abri. Quoique. Je t'avoue avoir pense a Aypierre avant de me rappeler quil etait parti puis au fantome de bill (ouais jsuis bizarre) et enfin au maitre du jeu
PDV Frigiel: Frifri au moins toi tes meugnon mais t'es un peu con. Genre tu vas reussir a te faire oublier du maitre du jeu et Potaro est encore une fois splendide
PDV SiphaTeam: Ah Bri est en securite. Siph l'engueule pas... TU LAS GIFLE NON MAIS OH TU VEUX QUE JE TE BUTE? ok au moins Aypierre ne les a pas tues. et cette entrée dans la maison me va. C'est Bri il est innocent il veut pas de mal a personne. Pourvu qu'ils rejoigne Aypierre. J'espere tellement qu'ils reste en vie tout les 3 ...
PDV Shorty: J'etais morte de rire tout le long (et tu te dis neutre) je suis neutre CAPISH OCEANE? (Tu es sadique) Chuut. Bref. Serieusement c'etait cool. Mais pas sur Shorty. Shorty a rien demande et il creve. Son seul tort etait d'etre ami avec Aypierre. Au moins il a rien dit. Mais je comprends pas qu'il est pardonne Skill. A moins qu'il ne l'ai fait pour faire enrager le maitre du jeu (oui jai lu jusqu'au bout mais a ce stade on ne sait rien) ou parce qu'il sait Skill fou. En tout cas cest un beau geste de sa part. Pardonner quelquun qui vous a fait souffrir cest dur...
PDV Aypierre: Waah le pauvre Harry Thaek Bill puis Shorty. Il te reste Fuka. Trouve le et protege le comme si c'etait toutes les emeraudes du monde. Je t'en supplie Pierre. Et prends aussi la SiphaTeam. S'il te plait. (ok elle veut pas que Siph ou Fuka meurt) Bah non. et surtout ne tue pas toutes ces personnes
Fukano, run for your life ! oh, j'adore tes commentaires, il sont si drôles...
Merci de m'avoir répondu pour Brioche. Non tu n'est pas bizarre, tu as pensée exactement ce que je voulais que tu penses. Je voulais vérifiée car ma copine qui corrige mon orthographe n'a pas du tout pensé a eux donc je voulait voir si j'avais rater le truc, mais non apparemment.
Oui, Frigiel et un peu con. Il essaye de se sauver à sa manière. Ca à la prestige de ne tuer personne...
Oui la redstone d'aypierre n'as tuer personne finalement, dans un des brouillons, j'avais décidé de tuer Xef ainsi mais non.
la torture de Shorty n'était pas assez douloureuse pour toi ? Très bien, ne t'inquiété pas, l'horreur va venir... Il pardonne à Skillnez pour plusieurs raison : il sais qu'il est devenu fou et que donc c'est pas que de sa faute et il sais aussi que son véritable boureau n'est pas Skillnez mais le maître du jeu car c'est lui qui est la cause de tous.
Ha ha, qu'est ce que va faire Aypierre ? la suite dans le prochain épisode !
Je veux que Fukano vive. en fait je veux juste que Skill Ecta As2 et MdJ creve point XD
Merci j'aime quand quelquun aime ce que j'ecris ^^
Bon ca va alors ^^ sache que tu fais quand meme des fautes ^^ mais le style est tellement beau quelles ne gachent presque rien ^^
C'est sur. Mais c'est con.
Heureusement sinon je l'aurai tue (et Kamia? ) Et merde.
La torture me fais souvent rire. Je suis sadique dans le fond.
c'est vrai mais bon cest bizarre quand meme.
NON JE VEUX SAVOIR Je suis vraiment désolée pour les fautes ! Sache qu'avec une amie on les a cherché pourtant ! C'est dommage... C'est qui Kamia ? Tu veux savoir, et bien j'en suis contente cela veux dire que mon histoire est bien, mais tu ne sauras rien avant Mercredi |
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| Dim 7 Sep - 12:51 M.S. - Neutral's Princess Crazy a écrit:
- Serais ce Octo la maitresse du jeu?
Mystère ! |
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| Dim 7 Sep - 12:55 Crazy Il n'y a que trois filles on est d'accord? Crousti Octo et Pota. Crousti ne ferait pas ca. Pota n'aurait pas entraine Natek la dedans.
Si ce nest pas ces deux la c'est Octo.
OU ALORS MissBGirl ou la copine de Xef. ou l'abonne qui etait dans la CHM mais je penche plus pour Octo |
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| Dim 7 Sep - 13:01 M.S. - Neutral's Princess Crazy a écrit:
- Il n'y a que trois filles on est d'accord? Crousti Octo et Pota. Crousti ne ferait pas ca. Pota n'aurait pas entraine Natek la dedans.
Si ce nest pas ces deux la c'est Octo.
OU ALORS MissBGirl ou la copine de Xef. ou l'abonne qui etait dans la CHM mais je penche plus pour Octo ou bien quelque chose d'autre ! quelque chose qu'i n'est pas forcément humain... Ne soit sûre de rien... |
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| Dim 7 Sep - 13:27 Crazy - Michel Strogoff a écrit:
- Neutral's Princess Crazy a écrit:
- Michel Strogoff a écrit:
- Neutral's Princess Crazy a écrit:
- Et bien tu sais quoi? C'est reparti pour un looong com XD
PDV Fukano: Fuka sauve toi tres loin. COURS POUR TA VIE et retourne aupres d'Aypierre il a besoin de toi !
PDV Brioche: Brioche tu me desespere. serieusement. Bon au moins tes a l'abri. Quoique. Je t'avoue avoir pense a Aypierre avant de me rappeler quil etait parti puis au fantome de bill (ouais jsuis bizarre) et enfin au maitre du jeu
PDV Frigiel: Frifri au moins toi tes meugnon mais t'es un peu con. Genre tu vas reussir a te faire oublier du maitre du jeu et Potaro est encore une fois splendide
PDV SiphaTeam: Ah Bri est en securite. Siph l'engueule pas... TU LAS GIFLE NON MAIS OH TU VEUX QUE JE TE BUTE? ok au moins Aypierre ne les a pas tues. et cette entrée dans la maison me va. C'est Bri il est innocent il veut pas de mal a personne. Pourvu qu'ils rejoigne Aypierre. J'espere tellement qu'ils reste en vie tout les 3 ...
PDV Shorty: J'etais morte de rire tout le long (et tu te dis neutre) je suis neutre CAPISH OCEANE? (Tu es sadique) Chuut. Bref. Serieusement c'etait cool. Mais pas sur Shorty. Shorty a rien demande et il creve. Son seul tort etait d'etre ami avec Aypierre. Au moins il a rien dit. Mais je comprends pas qu'il est pardonne Skill. A moins qu'il ne l'ai fait pour faire enrager le maitre du jeu (oui jai lu jusqu'au bout mais a ce stade on ne sait rien) ou parce qu'il sait Skill fou. En tout cas cest un beau geste de sa part. Pardonner quelquun qui vous a fait souffrir cest dur...
PDV Aypierre: Waah le pauvre Harry Thaek Bill puis Shorty. Il te reste Fuka. Trouve le et protege le comme si c'etait toutes les emeraudes du monde. Je t'en supplie Pierre. Et prends aussi la SiphaTeam. S'il te plait. (ok elle veut pas que Siph ou Fuka meurt) Bah non. et surtout ne tue pas toutes ces personnes
Fukano, run for your life ! oh, j'adore tes commentaires, il sont si drôles...
Merci de m'avoir répondu pour Brioche. Non tu n'est pas bizarre, tu as pensée exactement ce que je voulais que tu penses. Je voulais vérifiée car ma copine qui corrige mon orthographe n'a pas du tout pensé a eux donc je voulait voir si j'avais rater le truc, mais non apparemment.
Oui, Frigiel et un peu con. Il essaye de se sauver à sa manière. Ca à la prestige de ne tuer personne...
Oui la redstone d'aypierre n'as tuer personne finalement, dans un des brouillons, j'avais décidé de tuer Xef ainsi mais non.
la torture de Shorty n'était pas assez douloureuse pour toi ? Très bien, ne t'inquiété pas, l'horreur va venir... Il pardonne à Skillnez pour plusieurs raison : il sais qu'il est devenu fou et que donc c'est pas que de sa faute et il sais aussi que son véritable boureau n'est pas Skillnez mais le maître du jeu car c'est lui qui est la cause de tous.
Ha ha, qu'est ce que va faire Aypierre ? la suite dans le prochain épisode !
Je veux que Fukano vive. en fait je veux juste que Skill Ecta As2 et MdJ creve point XD
Merci j'aime quand quelquun aime ce que j'ecris ^^
Bon ca va alors ^^ sache que tu fais quand meme des fautes ^^ mais le style est tellement beau quelles ne gachent presque rien ^^
C'est sur. Mais c'est con.
Heureusement sinon je l'aurai tue (et Kamia? ) Et merde.
La torture me fais souvent rire. Je suis sadique dans le fond.
c'est vrai mais bon cest bizarre quand meme.
NON JE VEUX SAVOIR
Je suis vraiment désolée pour les fautes ! Sache qu'avec une amie on les a cherché pourtant ! C'est dommage...
C'est qui Kamia ?
Tu veux savoir, et bien j'en suis contente cela veux dire que mon histoire est bien, mais tu ne sauras rien avant Mercredi Ce n'est rien ^^
ma meilleure amie sur ce forum qui lit aussi cette fiction ^^ elle commente avec moi en fait mais pas avec son compte ^^
Maieuh |
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| Dim 7 Sep - 13:34 Lielea Rhaaa!!! ça m'embête de ne pas savoir! de passer a coté d'indices importants! Tu me les expliqueras lorsque l'Histoire sera termine? S'il te plaiiiiit 0.0
J'avais effectivement vu le lien entre le titre et cette partie, je ne l'ai pas précisé mais bon... Il faudrait peut être que je me fasse une liste des morts et de vivants, je commence à perdre le fil! enfin bref^^merci de ta réponse! |
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| Dim 7 Sep - 17:39 M.S. - Lielea a écrit:
- Rhaaa!!! ça m'embête de ne pas savoir! de passer a coté d'indices importants! Tu me les expliqueras lorsque l'Histoire sera termine? S'il te plaiiiiit 0.0
J'avais effectivement vu le lien entre le titre et cette partie, je ne l'ai pas précisé mais bon... Il faudrait peut être que je me fasse une liste des morts et de vivants, je commence à perdre le fil! enfin bref^^merci de ta réponse! Oui je pense à la fin faire un grand récapitulatif ou je donnerais tout les indices, tous les faits réel dont les événement sont inspirer et toute les petites référence littéraires que je mets mais au quels personnes ne prends garde Je pense que j’expliquerais aussi comment les idées me sont venue que je donnerais en bonus des petites anecdotes suprimées du texte finale mais qui sont fort sympathiques. Mercredi, je ferais un liste de tous les personnages qu'il reste. enfin tu ne m'as pas donner ton avis sur le titre de la prochaine partie, un choix... |
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| Dim 7 Sep - 18:37 Nizzy - Michel Strogoff a écrit:
- Nizzy a écrit:
Ce chapitre est tellement pleins d'émotions! Je ne sais même plus si je dois être triste, en colère,... Venons en à mon ressenti détaillé du chapitre! Fukano: Je me sentais mal pour lui quand j'ai lu qu'il était poursuivi! Ectalite est une vraie pourriture dans ton histoire, Fuka a raison, utiliser Bboy pour faire les tâches dangereuses! Il se croit fort mais c'est un lâche! Fuka l'a bien eu avec sa pomme! tant mieux pour lui! x) Je n'aurais jamais imaginée que l'instinct naturel de Fuka reprendrait le dessus et qu'il deviendrait un prédateur! Ça m'a surprise! J'espère qu'il ne tuera personne et qu'il reprendra vite ses esprits, mais avec toi il faut s'attendre à tous! ^^ Brioche: Pauvre Brioche qui se retrouve seul! Son caractère lu va tellement bien, naïf et pas conscient du danger. D'ailleurs les règles contrastant avec ce qu'il fait réellement, j'ai trouvé cette idée géniale! J'ai tout de suite reconnu la maison de Bill, et sachant que Aypierre l'avait bourrée de piège, j'ai eu très peur pour lui! Et encore plus quand une main c'est posée sur son épaule! J'ai pensé que c'était un des Patrick encore en vie... Heureusement tu n'as pas fait durer le suspens très longtemps! Et c'est encore mieux que se soit Siphano! ^^ Brioche fait son rebelle, j'aime! En plus Siphano l'a giflé alors il a raison! Et si il n'avait pas désobéit, il n'aurait pas vu le tombeau de Bill. La pièce où repose Bill est tellement bien décrite, c'est superbe! *-* Et tant mieux que ce soit eux qui le trouve car il le respecte, j'ai trouvé cette scène magnifique d'ailleurs! Maintenant il y a leur groupe qui est au courant de la révolte aussi, mais il reste des cas qu'ils vont avoir du mal à raisonner! Frigiel: Le solitaire.... Il me fait mal au cœur le pauvre! Mais qu'il prenne la résolution de ne pas tuer, c'est génial! Et quand il reconnait ses tords, c'est tellement bien, ça prouve qu'il est gentil et raisonné! Quant à la silhouette qu'il voit... Je ne sais pas du tout qui ça peut être... Shorty: Il est tellement gentil! Il avait toutes les qualités d'un héro! J'ai adoré son personnage, il ne trahis pas ses amis et pardonnes ses ennemis alors que Skillnez lui a fait vivre un enfers! J'adore vraiment sa mentalité! Aypierre: Il me fait tellement mal au cœur! C'est mon personnages préféré, il perd tous ses amis et pourtant il ne ressombre pas dans la méchanceté! En plus le texte que Brioche a lu et qu'il a écrit et tellement beau et touchant! Il va faire payer tout ça au maître du jeu, j'ai hâte de lire ça! Voilà, j'ai super hâte de lire la suite, je suis complètement fan de cette histoire! *-*
Qu'est ce que c'est gentil de me faire un résumé du chapitre ! j'adore les résumés !
Oui, tu as parfaitement raison pour Ectalite. j'aime beaucoup comment tu parle de lui, dans le chapitre suivant on va voir le point de vue interne de Bboy et je pense qu'il va te plaire.
Quand à Fukano, je voulais profiter de sa double nature et faire un truc un peu original, l'on pouvait faire des chose pas mal avec cela... Et tu as raison de t'attendre au pire !
Pour Brioche, les règles sont une petite ironie que j'ai aimé mettre. Tu as reconnu la maison de Bill et tu as eut peur pendant tout les descriptions en attendant que les pièges se mettent en marche ? parfait, tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possible, c'est ce que je voulait faire. Mon ami qui me corrige ne suis pas du tous Youtube, donc elle n'avait pas compris et je ne pouvait pas savoir si cela allait... Effectivement, j'ai coupé le point de vue au moment ou quelqu'un arrive, je n'avait pas pensé que cela pourrait être un Patrick mais à la réflexion ce n'est pas mal comme idée ! Brioche en mode rebelle, j'ai bien aimé écrire cela aussi
Oui, il faut que la pièces où repose Bill soit superbe ! Je tue les personnages que j'aime bien, mais je leur offre un beau tombeau. Aypierre à bien fait les choses.
Frigiel est le point de vue calme de l'histoire. Il faut bien des pauses parfois... Quand à la silouette, c'est un indice ( très gros indice) sur quelque chose qui a commencé de puis un jour mais qui n'aboutira que dans deux jour, quelque chose de très important et à vraiment long terme....
oui, Shorty est gentil, c'est un des rare personnages qui le soit. J'ai beaucoup hésité à le tuer, mais je l'ai fait ( pour plusieurs raison qu je tairait) parce qu'il devient encore plus beau dans la mort par son héroïsme face à la torture..
pendant ce temps Aypierre n'arrive pas à reprendre le contrôle de la situation, tout ses amis lui file entre les doigts comme de l'eau courante. On verra bien pour la suite...
Merci beaucoup de ton commentaire ! j'en suis fan . J'ai hâte de voir le point de vue de Bboy! :3 Eh bien tu as super bien réussi à me faire peur pour Brioche! ^^ Et j'ai trouvé a qui appartiens cette silhouette! Pour Shorty, je suis d'accord, il est tellement gentil même dans sa mort, ça va très bien a son personnage! c: |
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| Dim 7 Sep - 20:09 M.S. - Nizzy a écrit:
- Michel Strogoff a écrit:
- Nizzy a écrit:
- on va pas tous cité c'est trop long ! (Mich)
eh bien je t'attends mercredi dans les commentaires, avec Bboy, Ectalite, Aypierre, Croustinette, Zelvac, siphano, xef, Brioche et Potaro ! Oui tu as gagnais le privilège de savoir qui serait présent dans la première partie !  Tu as trouvé à qui appartient le silhouette ? Ce n'était pas si dur... A bientot ! Mich |
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| Dim 7 Sep - 21:05 Nizzy - Michel Strogoff a écrit:
- Nizzy a écrit:
- Michel Strogoff a écrit:
- Nizzy a écrit:
- on va pas tous cité c'est trop long ! (Mich)
eh bien je t'attends mercredi dans les commentaires, avec Bboy, Ectalite, Aypierre, Croustinette, Zelvac, siphano, xef, Brioche et Potaro ! Oui tu as gagnais le privilège de savoir qui serait présent dans la première partie !
Tu as trouvé à qui appartient le silhouette ? Ce n'était pas si dur...
A bientot !
Mich
Génial! *-* Merci Oui ce n'était pas compliqué je ne sais pas pourquoi je n'y ai pas pensé avant! ^^ J'ai hate d'etre a mercredi pour lire la suite! :3 |
| | Raikya l'AlchimisteApprenti Sadique Zodiaque : Messages : 1228
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| Lun 8 Sep - 13:10 Raikya l'Alchimiste Coucou cher voisin ^-^
Comment vas ? Je me permet de passer aussi (j'avais commenté je crois un chapitre il y a un moment)
Eh! je n'ait pas grand chose à dire de plus que mes prédécesseurs mais, néanmoins, ces longs commentaires ne m'empêche pas de dire combien j'admire ton travail sur cette reprise qui fait bien frissonner !
Je ne vais pas pouvoir m'éterniser, tu auras droit une autre fois au commentaire long et constructif !
A une prochaine :3 |
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| Lun 8 Sep - 14:23 M.S. - Raikya a écrit:
- Coucou cher voisin ^-^
Comment vas ? Je me permet de passer aussi (j'avais commenté je crois un chapitre il y a un moment)
Eh! je n'ait pas grand chose à dire de plus que mes prédécesseurs mais, néanmoins, ces longs commentaires ne m'empêche pas de dire combien j'admire ton travail sur cette reprise qui fait bien frissonner !
Je ne vais pas pouvoir m'éterniser, tu auras droit une autre fois au commentaire long et constructif !
A une prochaine :3 Chère voisine, ou plutôt ma voisine préférée (continuons la formalité et le style épistolaire dans le quel nous nous sommes lancées - et oui, "ées" je suis aussi une fille, le speudo vient d'un livre dont le personnage éponyme est un mec, mais comme je l'ai beaucoup aimé (le roman) j'en ais fait mon pseudo pour tout... mais bon, un jour je le mettrais au féminin pour simplifier les choses... ) Je disais donc, avant de me lancée dans cette grande parenthèse : Chère voisine je vais très bien, merci et toi ? et ta petite sirène ? Tu es toujours la bien venue, ici ! donc oui, passe faire un tour, je ne ferais que m'en réjouir ! tu n'as pas besion d'avoir quelque chose à dire ! merci pour ton commentaire, si gentil, si doux ! Merci beaucoup et la suite ne te décevra pas ! Mich. |
| | Raikya l'AlchimisteApprenti Sadique Zodiaque : Messages : 1228
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| Lun 8 Sep - 19:30 Raikya l'Alchimiste Oups désolée j'avais lu ta fiche en plus, mais je suis du genre tête en l'air qui oublie tout, désolée ^w^ Mich donc. Moi ça va aussi, merci ^w^ Le petite sirène manque un peu d'inspiration ces jours-ci mais j'approche de la fin. Ouh! Mais ne t'inquiète, je continuerait les remake moi, avec un autre conte *u* Donc toujours voisines xD Raikya |
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| Lun 8 Sep - 20:02 M.S. - Raikya a écrit:
- Oups désolée j'avais lu ta fiche en plus, mais je suis du genre tête en l'air qui oublie tout, désolée ^w^
Mich donc.
Moi ça va aussi, merci ^w^
Le petite sirène manque un peu d'inspiration ces jours-ci mais j'approche de la fin. Ouh!
Mais ne t'inquiète, je continuerait les remake moi, avec un autre conte *u*
Donc toujours voisines xD
Raikya Pas de problème ! Tu sais c'est ma faute, avoir un pseudo masculin, quel idée ! Après ouais, Mich c'est le surnom ( à cause d'une blague pourie MyssCalypso m'appelle michmich à cause de Michel, mais comme Mich tous court veux dire "moi" en Allemand, j'ai choisi ça comme toute bonne égocentrique que je suis. ) Tu me manque d'inspiration ? Je manque de temps ! super continue tes remake, je ne peux que t'encourager A tous jamais voisines (enfin peut être ... ) |
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